« Groupe EEUdF Saint-Marcel » : différence entre les versions

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Les routiers ont leur propre carnet de chant ''En chantant''.
Les routiers ont leur propre carnet de chant ''En chantant''.


En [[1936]], Saint-Marcel participe au camp national de [[Walbach]] et accueille notamment des scouts hongrois et norvégiens.
En [[1936]], Saint-Marcel participe au camp national de [[Walbach]] et accueille notamment des scouts hongrois et norvégiens. Et en [[1937]], Paul Mondoloni est nommé Instructeur Éclaireurs pour les troupes de Saint-Marcel.





Version du 3 mai 2012 à 17:37


LOGO MINIS ENJ.svg    En France, ce groupe fait partie d'un des dix mouvements pratiquant officiellement l'accueil de scoutisme.
Groupe de Saint-Marcel

Foulard de Saint-Marcel

Foulard de Saint-Marcel

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Groupe masculin

Fondation : 1911
Fondateurs :
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Chef(s) actuel(s) :
Coordonnées
Adresse : 24, rue Pierre-Nicole
Paris 5e
Téléphone :
E-mail :
[mailto: ]
Site web :
[ ]
Unités
  • Troupes (jusqu’à deux)
  • Meute




Histoire

Le groupe de Saint-Marcel est rattaché au temple luthérien de Saint-Marcel, dans le Ve arrondissement de Paris.

La troupe de Saint-Marcel est créée en 1911 (affiliation nº34). Mademoiselle G.Theis fonde la meute en 1922 (affiliation nº17 en avril).

En 1922, le chef de troupe est William Lods et la troupe est constituée de trois patrouilles : les Castors, les Goëlands et les Cigognes. Elle est rattachée au secteur Sud de la région Seine. Le secteur compte alors 230 éclaireurs dans 13 troupes[1].

Cette même année, Saint-Marcel gagne le concours régional de Trivaux. Les Castors se classent 2e, les Goëlands 7e et les Cigognes 14e. Les Goëlands gagnent le concours d’eau bouillante en 4 minutes et 23 secondes.

Toujours en 1922, les éclaireurs Pierre de Lusigny, Henri Berton et Gérard Noack obtiennent le diplôme rouge, André Lucas le diplôme jaune.

En 1923, Saint-Marcel aurait participé à un Trivaux marin à Suresnes, l’Union de Paris, et Neuilly[2].


Une deuxième troupe est créée avant 1930.

Entre janvier 1929 et mars 1930, les éclaireurs L. Nief, Claude Demay, Paul Anquetin et Paul Appell obtiennent le diplôme jaune[3].

Le 9 novembre 1930, la troupe Saint-Marcel I dégage le point de vue du Val de Cruye. En accord avec l’Administration des Forêts, les éclaireurs abattent près de 50 arbres en moins d’une heure[4].

Le camp d’été 1931 se déroule du 12 juillet au 2 août près de Royan avec les deux troupes de Saint-Marcel, ainsi que celles de Reims, Bourg-la-Reine et quelques éclaireurs d’Orléans. De nombreux brevets seront passés durant ce camp[5].

Les routiers ont leur propre carnet de chant En chantant.

En 1936, Saint-Marcel participe au camp national de Walbach et accueille notamment des scouts hongrois et norvégiens. Et en 1937, Paul Mondoloni est nommé Instructeur Éclaireurs pour les troupes de Saint-Marcel.


À l’occasion du Jamboree de la Paix en 1947, Pierre Joubert dessine une carte postale L’éclaireur porte-étandard du Jamboree sur laquelle figure un éclaireur unioniste reconnaissable à son coq doré de Première Classe. Il porte un foulard bleu uni, serait-il de Saint-Marcel ?

En 1948, le groupe est rattaché au district Observatoire de la province Seine-Midi. L’aumônier est M. Waltz et De Ribeaucourt est conseiller de Groupe. La troupe est dirigée par Albert Urban et la meute par Hélène May. Il n’y a pas de clan routier.

Voir aussi



Notes et références


  1. L’Éclaireur Unioniste, 9e année, 1922.
  2. Bulletin nº147 de l’association Les Tisons, mars 2004, p.7.
  3. Journal des Éclaireurs, 6e année, nº6 du 15 mars 1930, p.101.
  4. Journal des Éclaireurs, 6e année, nº20 du 20 novembre 1930, p.428.
  5. Journal des Éclaireurs, 7e année, nº16 de septembre 1931, p.293.