« Pierre de Montjamont » : différence entre les versions

De Scoutopedia
Aucun résumé des modifications
 
(12 versions intermédiaires par 3 utilisateurs non affichées)
Ligne 2 : Ligne 2 :
|naissance = [[19 octobre]] [[1907]]
|naissance = [[19 octobre]] [[1907]]
|décès = [[14 mai]] [[1998]]
|décès = [[14 mai]] [[1998]]
|image =  
|image = Pierre_de_Montjamont.jpg
|largeur =  
|largeur =  
|légende =  
|légende =  
|description = 1er président des [[SUF]]
|description = 1{{er}} président des [[SUF]]
|type =  
|type =  
|mouvement = personnalité sdf
|mouvement = personnalité sdf
Ligne 16 : Ligne 16 :
'''Pierre Lorenchet de Montjamont''', ([[1907]]-[[1998]]) est l'un des coauteurs des ''[[Bases fondamentales du Scoutisme]]'' et le premier président des [[Scouts unitaires de France]] (SUF).
'''Pierre Lorenchet de Montjamont''', ([[1907]]-[[1998]]) est l'un des coauteurs des ''[[Bases fondamentales du Scoutisme]]'' et le premier président des [[Scouts unitaires de France]] (SUF).


[[Aspirant]] à quatorze ans chez les [[Scouts de France]] (SDF) en mai [[1922]], il devient [[chef de patrouille]] à Bourg en [[1924]]. Étudiant à l'école des Hautes études commerciales (HEC), il est ensuite assistant de la [[Groupe SGDF Massillon Saint Merri Saint Paul (Paris 4e)|23{{e}} Paris (Massillon)]] en novembre [[1927]], en même temps qu'il devient [[routier]] et qu'il reçoit la distinction de [[chevalier de France]]<ref>[http://www.fraternite.net/forum/lire,Creation-des-SUF,6133,13,320 documents] publiés par le [[Réseau Baden-Powell]] sur le site [[la fraternité du scoutisme]]</ref>. Il prend la suite de François Plagnat comme [[chef de troupe]] en août [[1928]]. En [[1929]] il participe à la veillée d'arme organisée à l'église St Leu St-Gilles à Paris pour lancer l'[[Ordre scout]]. Pierre de Monjamont en témoignera au procès diocésain en vue de la béatification du Père [[Jacques Sevin]].
[[Aspirant]] à quatorze ans chez les [[Scouts de France]] (SDF) à Bourg, il y prononce sa promesse le [[12 mai]] [[1922]], et devient [[chef de patrouille]] en [[1924]]. Étudiant à l'école des Hautes études commerciales (HEC), il est ensuite assistant de la [[Groupe SGDF Massillon Saint Merri Saint Paul (Paris 4e)|23{{e}} Paris (Massillon)]] en novembre [[1927]], en même temps qu'il devient [[routier]] et qu'il reçoit la distinction de [[chevalier de France]] en [[1928]]<ref>[http://www.fraternite.net/forum/lire,Creation-des-SUF,6133,13,320 documents] publiés par le [[Réseau Baden-Powell]] sur le site [[la fraternité du scoutisme]]</ref>. Il prend la suite de François Plagnat comme [[chef de troupe]] en août [[1928]]. En [[1929]] il participe à la veillée d'arme organisée à l'église St Leu St-Gilles à Paris pour lancer l'[[Ordre scout]]. Pierre de Monjamont en témoignera au procès diocésain en vue de la béatification du Père [[Jacques Sevin]].


« En [[1932]], il est assistant de [[Paul Coze]] au sein de l’équipe nationale » d'après le Frère Yves Combeau o. p.<ref>[http://www.27paris.net/histoire/paris/glossaire_noms.php#M Site de la 27{{e}} Paris]</ref>.  
Assistant du [[Jacques Sevin|P. Sevin]] à [[Chamarande (camp école)|Chamarande]] à partir de [[1929]], avec [[Marc Lallier]], [[Jean Rupp]], [[Pierre Delsuc]], « en [[1932]], il est assistant de [[Paul Coze]] au sein de l’équipe nationale »<ref>[http://www.27paris.net/histoire/paris/glossaire_noms.php#M Site de la 27{{e}} Paris], Frère Yves Combeau o. p.</ref>.  


En [[1934]], Pierre de Montjamont est nommé Commissaire National Assistant (Scoutisme) de [[Michel Blanchon]], ''[[Deputy Camp Chief]]'' (93{{e}} SWCB – stage de [[badge de bois]] à [[Gilwell]]), dirige le 25{{e}} cours à [[Chamarande (camp école)|Chamarande]]<ref>[[Jean-Philippe Gayola]], CNE à l'[[AGSE]], ''De Gilwell à Chamarande... au Mac-Laren'', sur le site [http://koudou.scouts-europe.org/scoutmaitrise/le-mac-laren/de-gilwell-a-chamarande%E2%80%A6-au-mac-laren/ Le Koudou]</ref>.
En [[1934]], Pierre de Montjamont est nommé Commissaire National Assistant (Scoutisme) de [[Michel Blanchon]], ''[[Deputy Camp Chief]]'' (93{{e}} SWCB – stage de [[badge de bois]] à [[Gilwell]]), dirige le 25{{e}} cours à [[Chamarande (camp école)|Chamarande]]<ref>{{Lien web |url =http://koudou.scouts-europe.org/pour-toi-chef/le-mac-laren/ |auteur=[[Jean-Philippe Gayola]], CNE à l'[[AGSE]] |titre=''De Gilwell à Chamarande... au Mac-Laren'' |site=koudou.scouts-europe.org |consulté le=13 octobre 2021}}</ref>.


Avec son épouse Rozenn, le père Henri Caffarel et trois autres couples, il participe au début de [[1939]] au lancement des '''Équipes Notre-Dame'''<ref>[http://www.equipes-notre-dame.com/fr/les-equipes-notre-dame/fondation-histoire/les-debuts Les origines des équipes Notre-Dame]</ref> (à ce sujet, voir aussi les liens du père [[Paul Doncœur]] avec le père Caffarel et avec le prieuré de Troussures).
Il rencontre une cheftaine d'origine bretonne [http://ansfac.fr/spip.php?article86#moroges Rozenn] Petit de la Villéon lors d'un cours de Louvetisme à Chamarande. Ce sera le P. Sevin qui recevra leur consentement de mariage en octobre 1932. Avec trois autres couples, Pierre de Monjamont et Rozenn  participent en [[1939]] au lancement des '''équipes Notre-Dame''' du père Henri Caffarel.<ref>{{Lien web |url=https://www.henri-caffarel.org/sites/default/files/FR/bulletins/projetbulletinword-n23-fr2.pdf |date=janvier 2019 |titre=Bulletin de liaison n°23 |auteur=Association des amis du père Caffarel |consulté le=13 octobre 2021}}</ref> (à ce sujet, voir aussi les liens du père [[Paul Doncœur]] avec le père Caffarel et avec le prieuré de Troussures).


Officier d'active, il est responsable du '''clan Charles de Foucauld''' à l'école militaire de Saint-Cyr, en [[1939]].  
Officier d'active, il est responsable du '''clan Charles de Foucauld''' à l'école militaire de Saint-Cyr, en [[1939]].  
Chef de groupement dans les '''Chantiers de la jeunesse française''', il prend le maquis lors de leur dissolution fin [[1943]]. En [[1944]], il est chef d'état-major du '''maquis du Vercors''' (4{{e}} bureau, sous le pseudonyme "Capitaine Monnier"<ref>[http://beaucoudray.free.fr/vercors05b.htm Site non officiel de la commune de Beaucoudray]</ref>). Il termine la guerre en commandant la 27{{e}} division d'infanterie alpine et deviendra général de corps d'armée en [[1965]]<ref>Louis Fontaine dans ''[[La Mémoire du Scoutisme]]''</ref>.
Chef de groupement dans les '''Chantiers de la jeunesse française''', il prend le maquis lors de leur dissolution fin [[1943]]. En [[1944]], il est chef d'état-major du '''maquis du Vercors''' (4{{e}} bureau, sous le pseudonyme "Capitaine Monnier"<ref>[http://beaucoudray.free.fr/vercors05b.htm Site non officiel de la commune de Beaucoudray]</ref>). Il termine la guerre en commandant la 27{{e}} division d'infanterie alpine et deviendra général de corps d'armée en [[1965]]<ref>{{Ouvrage|auteur=Louis Fontaine|titre=[[La Mémoire du Scoutisme]]|année=1999|pages=360|éditeur=L.F.}}</ref>.


Pierre de Montjamont suit les initiatives qui visent à maintenir une pédagogie unitaire au sein des Scouts de France. Il se déplace à Rome avec [[Henry Dhavernas]] rencontrer leur ancien ami scout de Versailles [[Armand-François Le Bourgeois| Mgr Le Bourgeois]] (aumônier général adjoint de la Conférence Internationale du Scoutisme Catholique, devenue depuis "[[CICS]]"), essayant vainement de lui demander de prendre position contre ces réformes.
Pierre de Montjamont suit les initiatives qui visent à maintenir une pédagogie unitaire au sein des Scouts de France. Il se déplace à Rome avec [[Henry Dhavernas]] rencontrer leur ancien ami scout de Versailles [[Armand-François Le Bourgeois| Mgr Le Bourgeois]] (aumônier général adjoint de la Conférence Internationale du Scoutisme Catholique, devenue depuis "[[CICS]]"), essayant vainement de lui demander de prendre position contre ces réformes.


Dès [[1966]], il participe ainsi à l’'''[[Association pour le Soutien du Scoutisme]]''' (ASS)<ref>Albane du Mesnildot, ''Et pourquoi pas les Scouts unitaires de France ? [[1964]]-[[1989]], l'histoire d'une scission'', mémoire IEP / USS de Grenoble, [[1990]].</ref>, créée par le [[Groupe SUF Paris - Saint Louis|groupe Saint Louis]] et auquel adhèrent aussi [[Pierre Delsuc]] et certains membres du [[Comité des mille]], comme [[Claude Peignot]], puis d'autres personnalités des SDF comme [[François Piketty]] ou [[Michel de Gourlet]].
Dès [[1966]], il participe ainsi à l’'''[[Association pour le Soutien du Scoutisme]]''' (ASS)<ref name="Mesnildot">{{Ouvrage|auteur=Albane du Mesnildot|titre=Et pourquoi pas les Scouts unitaires de France ? [[1964]]-[[1989]], l'histoire d'une scission|éditeur=mémoire IEP-USS de Grenoble|année=[[1990]]}}</ref>, créée par le [[Groupe SUF Paris - Saint Louis|groupe Saint Louis]] et auquel adhèrent aussi [[Pierre Delsuc]] et certains membres du [[Comité des mille]], comme [[Claude Peignot]], puis d'autres personnalités des SDF comme [[François Piketty]] ou [[Michel de Gourlet]].


Avec [[Michel Menu]], [[Henry Dhavernas]] et [[Pierre Delsuc]], tous les quatre [[scoutmestre]]s, il co-signe en [[1967]] les ''[[Bases fondamentales du scoutisme]]''. Ce recueil, rédigé à l'initiative de [[François de Brétizel]], vise à redéfinir simplement le scoutisme, alors que les réformes des SDF ([[Séparation de la branche éclaireurs chez les scouts de France|séparation pionniers-rangers]], notamment) sont engagées depuis plusieurs années mais que beaucoup restent encore opposés à une scission ou à un ralliement des [[Union internationale des guides et scouts d'Europe|Scouts d'Europe]] de [[Pierre Géraud]].
Avec [[Michel Menu]], [[Henry Dhavernas]] et [[Pierre Delsuc]], tous les quatre [[scoutmestre]]s, il co-signe en [[1967]] les ''[[Bases fondamentales du scoutisme]]''. Ce recueil, rédigé à l'initiative de [[François de Brétizel]], vise à redéfinir simplement le scoutisme, alors que les réformes des SDF ([[Séparation de la branche éclaireurs chez les scouts de France|séparation pionniers-rangers]], notamment) sont engagées depuis plusieurs années mais que beaucoup restent encore opposés à une scission ou à un ralliement des [[Union internationale des guides et scouts d'Europe|Scouts d'Europe]] de [[Pierre Géraud]].


Après avoir participé au lancement des [[Scouts saint Georges]] en [[1968]] à [[Riaumont]], Pierre de Montjamont est sollicité  par les jeunes chefs qui créent les '''[[Scouts unitaires de France]]''', pour devenir le premier président de cette association dont il dépose les statuts le [[2 avril]] [[1971]] . Il exerce cette fonction jusqu'en [[1976]].  
Après avoir participé au lancement des [[Scouts saint Georges]] en [[1968]] à [[Riaumont]], Pierre de Montjamont est sollicité  par les jeunes chefs qui créent les '''[[Scouts unitaires de France]]''', pour devenir le premier président de cette association dont il dépose les statuts le [[2 avril]] [[1971]] . Il exerce cette fonction jusqu'en [[1976]].  
Avec [[Bernard de Jerphanion]] et Philippe Trampont, il élabore les formations « Tripodes », destinés aux [[chef de groupe|chefs de groupe]]<ref>Yves Combeau, dans la ''Nouvelle histoire du scoutisme catholique en France'', éditions Monceau, [[2009]].</ref>, et il restera proche du mouvement jusqu'à la fin.
Avec [[Bernard de Jerphanion]] et Philippe Trampont, il élabore les formations « Tripodes », destinés aux [[chef de groupe|chefs de groupe]]<ref>{{Ouvrage|auteur=[[Yves Combeau]]|titre=[[Nouvelle histoire du scoutisme catholique en France]]|éditeur=Éditions Monceau|lieu=Paris|année=[[2010]]|isbn=2-9536-3660-4|pages=258}}.</ref>, et il restera proche du mouvement jusqu'à la fin.


== Voir aussi ==
== Voir aussi ==
* {{Ouvrage|titre=[[Grandes figures du scoutisme]]|passage=299 à 328|auteur=[[Christophe Carichon]]|éditeur=Artège|isbn=9791033611806|année=2021|pages=360}}.
* [[Liste des présidents des scouts unitaires de France]]
* [[Liste des présidents des scouts unitaires de France]]
{{Président SUF
{{Président SUF
|début = 1971
|début = 1971
Ligne 45 : Ligne 45 :
|successeur = Bernard Mantienne
|successeur = Bernard Mantienne
}}
}}
 
{{références}}
{{portail personnalités}}
{{portail personnalités}}
{{références}}

Dernière version du 12 décembre 2022 à 22:21

Pierre de Montjamont
Pierre de Montjamont
1er président des SUF
19 octobre 1907 · 14 mai 1998

Personnalité scouts de France

Scouts de France.

Personnalité scouts unitaires de France

Scouts unitaires de France.

Personnalité française

France.
Montjamont signature.png

Pierre Lorenchet de Montjamont, (1907-1998) est l'un des coauteurs des Bases fondamentales du Scoutisme et le premier président des Scouts unitaires de France (SUF).

Aspirant à quatorze ans chez les Scouts de France (SDF) à Bourg, il y prononce sa promesse le 12 mai 1922, et devient chef de patrouille en 1924. Étudiant à l'école des Hautes études commerciales (HEC), il est ensuite assistant de la 23e Paris (Massillon) en novembre 1927, en même temps qu'il devient routier et qu'il reçoit la distinction de chevalier de France en 1928[1]. Il prend la suite de François Plagnat comme chef de troupe en août 1928. En 1929 il participe à la veillée d'arme organisée à l'église St Leu St-Gilles à Paris pour lancer l'Ordre scout. Pierre de Monjamont en témoignera au procès diocésain en vue de la béatification du Père Jacques Sevin.

Assistant du P. Sevin à Chamarande à partir de 1929, avec Marc Lallier, Jean Rupp, Pierre Delsuc, « en 1932, il est assistant de Paul Coze au sein de l’équipe nationale »[2].

En 1934, Pierre de Montjamont est nommé Commissaire National Assistant (Scoutisme) de Michel Blanchon, Deputy Camp Chief (93e SWCB – stage de badge de bois à Gilwell), dirige le 25e cours à Chamarande[3].

Il rencontre une cheftaine d'origine bretonne Rozenn Petit de la Villéon lors d'un cours de Louvetisme à Chamarande. Ce sera le P. Sevin qui recevra leur consentement de mariage en octobre 1932. Avec trois autres couples, Pierre de Monjamont et Rozenn participent en 1939 au lancement des équipes Notre-Dame du père Henri Caffarel.[4] (à ce sujet, voir aussi les liens du père Paul Doncœur avec le père Caffarel et avec le prieuré de Troussures).

Officier d'active, il est responsable du clan Charles de Foucauld à l'école militaire de Saint-Cyr, en 1939. Chef de groupement dans les Chantiers de la jeunesse française, il prend le maquis lors de leur dissolution fin 1943. En 1944, il est chef d'état-major du maquis du Vercors (4e bureau, sous le pseudonyme "Capitaine Monnier"[5]). Il termine la guerre en commandant la 27e division d'infanterie alpine et deviendra général de corps d'armée en 1965[6].

Pierre de Montjamont suit les initiatives qui visent à maintenir une pédagogie unitaire au sein des Scouts de France. Il se déplace à Rome avec Henry Dhavernas rencontrer leur ancien ami scout de Versailles Mgr Le Bourgeois (aumônier général adjoint de la Conférence Internationale du Scoutisme Catholique, devenue depuis "CICS"), essayant vainement de lui demander de prendre position contre ces réformes.

Dès 1966, il participe ainsi à l’Association pour le Soutien du Scoutisme (ASS)[7], créée par le groupe Saint Louis et auquel adhèrent aussi Pierre Delsuc et certains membres du Comité des mille, comme Claude Peignot, puis d'autres personnalités des SDF comme François Piketty ou Michel de Gourlet.

Avec Michel Menu, Henry Dhavernas et Pierre Delsuc, tous les quatre scoutmestres, il co-signe en 1967 les Bases fondamentales du scoutisme. Ce recueil, rédigé à l'initiative de François de Brétizel, vise à redéfinir simplement le scoutisme, alors que les réformes des SDF (séparation pionniers-rangers, notamment) sont engagées depuis plusieurs années mais que beaucoup restent encore opposés à une scission ou à un ralliement des Scouts d'Europe de Pierre Géraud.

Après avoir participé au lancement des Scouts saint Georges en 1968 à Riaumont, Pierre de Montjamont est sollicité par les jeunes chefs qui créent les Scouts unitaires de France, pour devenir le premier président de cette association dont il dépose les statuts le 2 avril 1971 . Il exerce cette fonction jusqu'en 1976. Avec Bernard de Jerphanion et Philippe Trampont, il élabore les formations « Tripodes », destinés aux chefs de groupe[8], et il restera proche du mouvement jusqu'à la fin.

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]

Précédé par Pierre de Montjamont Suivi par
~
SUF logo.svg

Président des Scouts unitaires de France
de 1971 à 1976.

Bernard Mantienne

Notes et références


  1. documents publiés par le Réseau Baden-Powell sur le site la fraternité du scoutisme
  2. Site de la 27e Paris, Frère Yves Combeau o. p.
  3. Jean-Philippe Gayola, CNE à l'AGSE, « De Gilwell à Chamarande... au Mac-Laren » sur koudou.scouts-europe.org. Consulté le 13 octobre 2021
  4. Association des amis du père Caffarel, « Bulletin de liaison n°23 », janvier 2019. Consulté le 13 octobre 2021
  5. Site non officiel de la commune de Beaucoudray
  6. Louis Fontaine, La Mémoire du Scoutisme, L.F., 1999, 360 p.
  7. Albane du Mesnildot, Et pourquoi pas les Scouts unitaires de France ? 1964-1989, l'histoire d'une scission, mémoire IEP-USS de Grenoble, 1990
  8. Yves Combeau, Nouvelle histoire du scoutisme catholique en France, Éditions Monceau, Paris, 2010, 258 p. (ISBN 2-9536-3660-4).