« Torche des dix vertus » : différence entre les versions
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Ce mât entièrement sculpté avait été dessiné par le Père Sevin, taillé en [[1931]] par [[Roland Pierre]]. Un routier Jacques Jouan | Ce mât entièrement sculpté avait été dessiné par le Père Sevin, taillé en [[1931]] par [[Roland Pierre]]. Un routier Jacques Jouan <ref> très probablement de s'agit Jacques Willy Jouan né en 1907 Aux Préaux et mort à Paris le 24.12.1967. Parallèlement aux Beaux Arts il s'investit dans le scoutisme. C'est ensuite un ébéniste et un restaurateur réputé.</ref> avait sculpté en haut le [[totem]] des trois fondateurs des [[Scouts de France]], surmonté des trois doigts faisant le salut scout. Ces trois têtes symboliques représentent un Loup (''Vieux loup'' étant le totem ou surnom du [[Antoine-Louis Cornette|Chanoine Cornette]]), une tête de Renard (''Renard noir'', le [[Jacques Sevin| Père Sevin]]) et une autre de Hibou (''Hibou pacifique'', [[Édouard de Macédo]]). | ||
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Version du 14 octobre 2015 à 08:53
Dans le camp de Chamarande, la "Torche des dix vertus" était un tronc d'arbre mort (un orme) sculpté et peint de motifs représentants sur la partie inférieure les dix articles de la Loi scoute.
Ce mât entièrement sculpté avait été dessiné par le Père Sevin, taillé en 1931 par Roland Pierre. Un routier Jacques Jouan [1] avait sculpté en haut le totem des trois fondateurs des Scouts de France, surmonté des trois doigts faisant le salut scout. Ces trois têtes symboliques représentent un Loup (Vieux loup étant le totem ou surnom du Chanoine Cornette), une tête de Renard (Renard noir, le Père Sevin) et une autre de Hibou (Hibou pacifique, Édouard de Macédo).
l'allure générale rappelle celle des grands poteaux sculptés par les indiens d'Amérique du Nord
Le terme de "mât-totem" était employé à l'origine, mais il a été remplacé (notamment sur l'édition des photos cartes postales de Chamarande) par celui de "torche des dix vertus", moins suspect d'indianisme.Le chiffre dix évoquerait le nombre des articles de la [[Loi scoute24.12
Voir aussi
- Le Livre de Chamarande (édition 1934, p.103 et 104).
Notes et références
- ↑ très probablement de s'agit Jacques Willy Jouan né en 1907 Aux Préaux et mort à Paris le 24.12.1967. Parallèlement aux Beaux Arts il s'investit dans le scoutisme. C'est ensuite un ébéniste et un restaurateur réputé.