« Georges Diény » : différence entre les versions
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Georges Diény quitte le poste de Commissaire National pour regagner sa paroisse dès l’Armistice. | Georges Diény quitte le poste de Commissaire National pour regagner sa paroisse dès l’Armistice. | ||
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Spirituel. |
Éclaireurs unionistes de France. |
France. |
Georges Diény fut pasteur et chef Éclaireur Unioniste dès la première heure.
Séparé de son église de Quiévy (Nord), par la ligne de front, pendant la Première Guerre mondiale, il devient Commissaire National des Éclaireurs unionistes de France le 19 janvier 1918.
C'est à cette époque que s'engage un débat sur la séparation des Éclaireurs unionistes et des Unions Chrétiennes de Jeunes Gens. La désorganisation des UCJG à cause de la guerre, la multiplication des troupes d'éclaireurs créées dans des paroisses protestantes sans lien avec les Unions chrétiennes et l'aspiration des jeunes chefs à l'autonomie de leur mouvement conduisent Diény à y travailler. Il rédige des statuts provisoires qui sont adoptés le 14 octobre 1918 par la commission nationale. Mais il faudra attendre que la situation se stabilise avec le retour des combattants démobilisés pour que cette autonomie du mouvement des Éclaireurs unionistes vis-à-vis des UCJG soit confirmée : c’est donc Jean Beigbeder qui portera finalement les ÉUF sur les fonts baptismaux, après acceptation de leurs statuts par le 17e Conseil national des UCJG le 1er novembre 1920 au Havre.
Georges Diény quitte le poste de Commissaire National pour regagner sa paroisse dès l’Armistice. Il est par la suite pasteur en la paroisse du Saint-Esprit à Paris de 1936 à 1945.
Il est totémisé Noir Corbeau.
Précédé par | Georges Diény | Suivi par |
Henri Bonnamaux |
Commissaire National des Éclaireurs unionistes de France |
Jean Beigbeder |