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Il organise le premier camp d'Eclaireurs à Pâques 1912 aux gorges de Franchard, dans la Forêt de Fontainebleau.
Il organise le premier camp d'Eclaireurs à Pâques 1912 aux gorges de Franchard, dans la Forêt de Fontainebleau.


En 1912, Il fonde le "Camping Club de France" en compagnie des [[frères Bonnamaux]] des [[Eclaireurs unionistes de France]], et d'[[André Lefèvre]] (Vieux Castor) pour les [[Eclaireurs de France]].
En 1912, Il fonde le "[[Camping Club de France]]" en compagnie des [[frères Bonnamaux]] des [[Eclaireurs unionistes de France]], et d'[[André Lefèvre]] (Vieux Castor) pour les [[Eclaireurs de France]].
 


Après [[1919]], il est chargé par le [[Comité américain pour les régions dévastées]] (CARD) de relancer le scoutisme dans les régions du nord-est.
Après [[1919]], il est chargé par le [[Comité américain pour les régions dévastées]] (CARD) de relancer le scoutisme dans les régions du nord-est.

Version du 21 février 2015 à 16:17

Jacques Demarquette
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Fondateurs des Éclaireurs français
23 avril 1888 · 22 août 1969

Fondateur

Fondateur.

Personnalité française

France.


Jacques Demarquette (Paris 23 avril 1888 - Paris 22 août 1969) fut un des fondateurs des Éclaireurs français.

Fin 1910, son attention est attirée sur le scoutisme par M. Blech, président de la Théosophie en France,[1].

Il crée alors l'une des 1eres troupes francaises à l'école communale de la rue Martel (Paris 10eme arrt). Fin 1911, il participe à la fondation des Éclaireurs français de Pierre de Coubertin. Il devient alors Instructeur général de la Ligue d'Éducation Nationale pour la région parisienne, puis pour toute la France.

Il organise le premier camp d'Eclaireurs à Pâques 1912 aux gorges de Franchard, dans la Forêt de Fontainebleau.

En 1912, Il fonde le "Camping Club de France" en compagnie des frères Bonnamaux des Eclaireurs unionistes de France, et d'André Lefèvre (Vieux Castor) pour les Eclaireurs de France.


Après 1919, il est chargé par le Comité américain pour les régions dévastées (CARD) de relancer le scoutisme dans les régions du nord-est.

Naturiste, théosophe, végétarien, il suscite l'inquiétude de certains dirigeants des Éclaireurs de France. Parallèlement, il se consacre à ses travaux mystiques et se détache du scoutisme. Il fonde un camp naturiste à Chevreuse.

Il laisse à la fin de sa vie un témoignage rare sur les débuts du scoutisme en France : "Confessions d'un mystique contemporain".

Voir aussi

  • J. Demarquette : Le scoutisme, méthode d'éducation intégrale, CARD, 1920.



Notes et références


  1. "Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine" et "Confessions d'un mystique contemporain" (J. Demarquette)