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« C’est le jeudi [[18 mai]] [[1933]], raconte l'un de leurs grands anciens, que les choses commencèrent. Ce jour-là, un prêtre et un scout originaire de Molsheim, se promenaient dans le charmant vignoble tout fleuri qui mène des collines pré-vosgiennes aux prés verdoyants de la plaine ». Le prêtre en question est Marie Joseph Kolb, vicaire général et archidiacre de St Florent. « Une tache blanche luisait au soleil : le vieux Dompeter. Ils voulurent pénétrer dans le sanctuaire ; il était fermé. Les vitres étaient cassées ; les cadres des fenêtres, défoncés, gisaient dans l’église. On pouvait, faute de mieux, entrer par ces baies béantes. L’intérieur de l’église, par son délabrement, frappa plus encore les deux visiteurs. Derrière les stations du chemin de croix, les oiseaux avaient fait leurs nids. Les autels étaient abandonnés, sales et poussiéreux, les statues branlantes ; tout était abîmé par l’humidité, la pluie et les traces que laissent nos petits frères, les oiseaux, si aimables, mais aussi irrespectueux ! Désaffectée sans doute, il importait néanmoins de rendre à cette vieille église l’aspect extérieur de dignité qui lui convenait. | « C’est le jeudi [[18 mai]] [[1933]], raconte l'un de leurs grands anciens, que les choses commencèrent. Ce jour-là, un prêtre et un scout originaire de Molsheim, se promenaient dans le charmant vignoble tout fleuri qui mène des collines pré-vosgiennes aux prés verdoyants de la plaine ». Le prêtre en question est Marie Joseph Kolb, vicaire général et archidiacre de St Florent. « Une tache blanche luisait au soleil : le vieux Dompeter. Ils voulurent pénétrer dans le sanctuaire ; il était fermé. Les vitres étaient cassées ; les cadres des fenêtres, défoncés, gisaient dans l’église. On pouvait, faute de mieux, entrer par ces baies béantes. L’intérieur de l’église, par son délabrement, frappa plus encore les deux visiteurs. Derrière les stations du chemin de croix, les oiseaux avaient fait leurs nids. Les autels étaient abandonnés, sales et poussiéreux, les statues branlantes ; tout était abîmé par l’humidité, la pluie et les traces que laissent nos petits frères, les oiseaux, si aimables, mais aussi irrespectueux ! Désaffectée sans doute, il importait néanmoins de rendre à cette vieille église l’aspect extérieur de dignité qui lui convenait. | ||
Travail ingrat et obscur… Comment ne pas penser aux scouts pour l’accomplir ? Aussi, le soir même, le commissaire des [[Scouts de France]] pour le district de Strasbourg était-il alerté par téléphone. Une splendide [[BA]] à faire, que Son Excellence Monseigneur Ruch, évêque de Strasbourg, déjà informé, approuvait chaleureusement. Et c’est ainsi que dès le surlendemain, samedi [[20 mai]], une première équipe de scouts strasbourgeois se rendait au Dompeter à bicyclette pour entreprendre les premiers travaux ». | Travail ingrat et obscur… Comment ne pas penser aux scouts pour l’accomplir ? Aussi, le soir même, le commissaire des [[Scouts de France]] pour le district de Strasbourg était-il alerté par téléphone. Une splendide [[BA]] à faire, que Son Excellence Monseigneur Ruch, évêque de Strasbourg, déjà informé, approuvait chaleureusement. Et c’est ainsi que dès le surlendemain, samedi [[20 mai]], une première équipe de scouts strasbourgeois se rendait au Dompeter à bicyclette pour entreprendre les premiers travaux ».<ref>Dernières Nouvelles de Strasbourg, ''Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace")'', Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 12</ref> | ||
«On commença par un grand nettoyage. Les statues furent débarassées de leurs toiles d'araignées et lavées à grande eau, grâce à la Bruche toute proche. La population d'Avolsheim ne tarda pas à apporter son aide aux scouts. On décida de faire plus qu'un nettoyage : on entreprit la restauration de l'édifice. L'appui des Beaux-Arts fut assuré avec une facilité à laquelle il faut rendre hommage. Sous la surveillance de MM.Lechten et Czarnowski, on s'attaqua d'abord aux travaux les plus ingrats. Les cadres des feêtres furent remis en place, les vitres posées. Les scouts réussirent à convaincre les garneements du voisinage, qui avaient pris l'habitude de s"exercer les dimanches après-midi à lancer des cailloux dans les vitres du Dompeter, à choisir d'autres cibles. Le vieux chemin de croix, délabré et dénué de toute valeur artistique, fit placer à de simple croix potencées en chêne. Les statues restaurées furent remises sur leurs socles ; la ravissante petite Vierge à l'enfant du 15e siècle prit une place d'honneur ; fleurie à chaque visite des scouts, elle présida dorénavant à leurs travaux. Le vieux reliquaire en forme de buste de sainte Pétronille retrouva en partie son ancienne splendeur si riche de coloris. L'antique fontaine romaine, dédiée à cette même sainte, fut remise en état, l'accès au puits dégagé, le puits nettoyé et approfondi. Quelle joie pour les scouts à chaque découverte : vieilles monnaies, fers à cheval romains, ect.... Tous ces vestiges furent soigneusement conservés et on rêva même d'un petit musée. Le dégagement des dalles antiques à l'entrée du puits de sainte Pétronille leur donna l'idée de libérer plus tard la voie romaine. Un jour sans doute retrouvera-t-on la route aux larges dalles sur laquelle cheminèrent les premiers apotres de la région. Les vieux piliers de l'église furent débarassés de leur crépi, les cintres dégagés, le toit révisé et consolidé, l'autel garni de candélabres et d'un crucifix, dons provissoires, en attendant de trouver les moyens d'en réaliser un nouveaux, mieux adaptés au cadre ancien. »<ref name=":0">Dernières Nouvelles de Strasbourg, ''Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace")'', Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 13</ref> | |||
=== Chronologie du Dompeter === | |||
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Une fois restauré, les [[Scouts de France]] ont voulu faire du Dompeter un sanctuaire où étaient présents les saints d’Alsace. | Une fois restauré, les [[Scouts de France]] ont voulu faire du Dompeter un sanctuaire où étaient présents les saints d’Alsace. | ||
* Dès le 12 octobre 1933, moins de six mois après le début des travaux, l'église fut solennellement rendue au culte par S.Ex.Monseigneur Ruch (évêque de Strasbourg)<ref>Pierre Lorson, ''Charles Ruch, évêque de Strasbourg (1873-1945)'', F.-X. Le Roux, Strasbourg, 1948</ref>, en présence d'une foule innombrable et de tous les scouts de la [[Province SDF Alsace|Province Alsace]].<ref name=":0" /> | |||
Le [[ | * Le [[1 juillet|1{{er}} juillet]] [[1934]] et les reliques furent placées dans le chœur en présence du Général [[Arthur Guyot de Salins|de Salins]] et du [[chanoine Cornette]]. Des groupes scouts venus à pied de toutes les villes d'Alsace. Le transfert des reliques de tous les saintes et saints dont s'honorer [[Province SDF Alsace|la province]] : Saint Materne, Saint Florent, Saint Léon, Saint Armand, Saint Morand, St-Léger, Saint Odile, Sainte Eugénie, Sainte Aurélie, Sainte Hune et sainte Richarde.<ref>Dernières Nouvelles de Strasbourg, ''Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace")'', Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 13-14</ref> | ||
En [[1950]], la province scoute d’Alsace organise un rallye au Dompeter pour fêter un triple anniversaire : 900 ans du Dompeter, 30 ans de scoutisme en Alsace, 20 ans de la garde du sanctuaire confiée aux Scouts.<br />Le lundi de Pentecôte, l’autel mémorial est consacré par Mgr Weber. C’est une simple table romane entourée dans le fond du chœur de panneaux rappelant les noms des 214 [http://ansfac.fr/spip.php?article53#Dompeter scouts tombés pendant la guerre 1939-1945] sous l’uniforme français ou allemand - pour les Malgré Nous - , résistants, clandestins, déportés et aussi combattants d’Indochine et d’Algérie.<br />Pour beaucoup d’entre eux leur sépulture est inconnue, ce sera le seul monument rappelant leur mémoire. | * Le [[15 août]] [[1942]], la statue à l’effigie de Notre-Dame de Strasbourg sculptée par quelques routiers alsaciens est présentée au [[pèlerinage du Puy]] avec le vœu de la ramener en terre d’Alsace après la libération. | ||
* En [[1946]] la Vierge revient triomphalement en Alsace en un pèlerinage qui traverse les villages de Pfetterhouse à la Cathédrale de Strasbourg où la statue est accueillie par {{Mgr}} Weber. | |||
* [[1947]] - installation de la statue Notre-Dame de Strasbourg au Dompeter. | |||
* En [[1950]], la [[Province SDF Alsace|province scoute d’Alsace]] organise un rallye au Dompeter pour fêter un triple anniversaire : 900 ans du Dompeter, 30 ans de scoutisme en Alsace, 20 ans de la garde du sanctuaire confiée aux Scouts.<br />Le lundi de Pentecôte, l’autel mémorial est consacré par Mgr Weber. C’est une simple table romane entourée dans le fond du chœur de panneaux rappelant les noms des 214 [http://ansfac.fr/spip.php?article53#Dompeter scouts tombés pendant la guerre 1939-1945] sous l’uniforme français ou allemand - pour les Malgré Nous - , résistants, clandestins, déportés et aussi combattants d’Indochine et d’Algérie.<br />Pour beaucoup d’entre eux leur sépulture est inconnue, ce sera le seul monument rappelant leur mémoire. | |||
Le Dompeter est pour les [[Scouts et Guides de France]] d’Alsace un signe de fidélité à l’Église et de fidélité à la Patrie, c’est un double engagement auquel les lie leur promesse scoute | Le Dompeter est pour les [[Scouts et Guides de France]] d’Alsace un signe de fidélité à l’Église et de fidélité à la Patrie, c’est un double engagement auquel les lie leur promesse scoute |
Version du 14 avril 2024 à 17:12
Édifice religieux |
Haut lieu du scoutisme |
Lieu situé en France |
1933 : | L'église est confiée aux SDF |
---|---|
1947 : | Installation de la statue ND de Strasbourg |
{{{évènement 3}}} | |
{{{évènement 4}}} |
48° 33' 23.95" N, 7° 30' 19.88" E
Le Dompeter est une petite église située sur la commune de Avolsheim, près de Molsheim, en Alsace. Depuis 1933, elle a été confiée à la garde des Scouts et guides de France d'Alsace. Le Dompeter est également le mémorial des Scouts de France d'Alsace tombés au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Un haut lieu du christianisme alsacien
Le Dompeter, appelé primitivement domus petri, la maison de Pierre, pourrait être la plus vieille église d’Alsace. La légende attribue sa fondation à St Materne au Ier siècle. Agrandi aux IXe et Xe siècles, le Dompeter est consacré en l’an 1049 par le pape alsacien Léon IX. Au XIVe siècle, le Dompeter est l’église mère du canton de Molsheim et est desservie plus tard par les Jésuites depuis leur collège de Molsheim.
A partir de 1911, le Dompeter est délaissé pour la nouvelle église construite au milieu du village.
Un haut lieu du scoutisme alsacien
L'opération de sauvetage
« C’est le jeudi 18 mai 1933, raconte l'un de leurs grands anciens, que les choses commencèrent. Ce jour-là, un prêtre et un scout originaire de Molsheim, se promenaient dans le charmant vignoble tout fleuri qui mène des collines pré-vosgiennes aux prés verdoyants de la plaine ». Le prêtre en question est Marie Joseph Kolb, vicaire général et archidiacre de St Florent. « Une tache blanche luisait au soleil : le vieux Dompeter. Ils voulurent pénétrer dans le sanctuaire ; il était fermé. Les vitres étaient cassées ; les cadres des fenêtres, défoncés, gisaient dans l’église. On pouvait, faute de mieux, entrer par ces baies béantes. L’intérieur de l’église, par son délabrement, frappa plus encore les deux visiteurs. Derrière les stations du chemin de croix, les oiseaux avaient fait leurs nids. Les autels étaient abandonnés, sales et poussiéreux, les statues branlantes ; tout était abîmé par l’humidité, la pluie et les traces que laissent nos petits frères, les oiseaux, si aimables, mais aussi irrespectueux ! Désaffectée sans doute, il importait néanmoins de rendre à cette vieille église l’aspect extérieur de dignité qui lui convenait.
Travail ingrat et obscur… Comment ne pas penser aux scouts pour l’accomplir ? Aussi, le soir même, le commissaire des Scouts de France pour le district de Strasbourg était-il alerté par téléphone. Une splendide BA à faire, que Son Excellence Monseigneur Ruch, évêque de Strasbourg, déjà informé, approuvait chaleureusement. Et c’est ainsi que dès le surlendemain, samedi 20 mai, une première équipe de scouts strasbourgeois se rendait au Dompeter à bicyclette pour entreprendre les premiers travaux ».[1]
«On commença par un grand nettoyage. Les statues furent débarassées de leurs toiles d'araignées et lavées à grande eau, grâce à la Bruche toute proche. La population d'Avolsheim ne tarda pas à apporter son aide aux scouts. On décida de faire plus qu'un nettoyage : on entreprit la restauration de l'édifice. L'appui des Beaux-Arts fut assuré avec une facilité à laquelle il faut rendre hommage. Sous la surveillance de MM.Lechten et Czarnowski, on s'attaqua d'abord aux travaux les plus ingrats. Les cadres des feêtres furent remis en place, les vitres posées. Les scouts réussirent à convaincre les garneements du voisinage, qui avaient pris l'habitude de s"exercer les dimanches après-midi à lancer des cailloux dans les vitres du Dompeter, à choisir d'autres cibles. Le vieux chemin de croix, délabré et dénué de toute valeur artistique, fit placer à de simple croix potencées en chêne. Les statues restaurées furent remises sur leurs socles ; la ravissante petite Vierge à l'enfant du 15e siècle prit une place d'honneur ; fleurie à chaque visite des scouts, elle présida dorénavant à leurs travaux. Le vieux reliquaire en forme de buste de sainte Pétronille retrouva en partie son ancienne splendeur si riche de coloris. L'antique fontaine romaine, dédiée à cette même sainte, fut remise en état, l'accès au puits dégagé, le puits nettoyé et approfondi. Quelle joie pour les scouts à chaque découverte : vieilles monnaies, fers à cheval romains, ect.... Tous ces vestiges furent soigneusement conservés et on rêva même d'un petit musée. Le dégagement des dalles antiques à l'entrée du puits de sainte Pétronille leur donna l'idée de libérer plus tard la voie romaine. Un jour sans doute retrouvera-t-on la route aux larges dalles sur laquelle cheminèrent les premiers apotres de la région. Les vieux piliers de l'église furent débarassés de leur crépi, les cintres dégagés, le toit révisé et consolidé, l'autel garni de candélabres et d'un crucifix, dons provissoires, en attendant de trouver les moyens d'en réaliser un nouveaux, mieux adaptés au cadre ancien. »[2]
Chronologie du Dompeter
Une fois restauré, les Scouts de France ont voulu faire du Dompeter un sanctuaire où étaient présents les saints d’Alsace.
- Dès le 12 octobre 1933, moins de six mois après le début des travaux, l'église fut solennellement rendue au culte par S.Ex.Monseigneur Ruch (évêque de Strasbourg)[3], en présence d'une foule innombrable et de tous les scouts de la Province Alsace.[2]
- Le 1er juillet 1934 et les reliques furent placées dans le chœur en présence du Général de Salins et du chanoine Cornette. Des groupes scouts venus à pied de toutes les villes d'Alsace. Le transfert des reliques de tous les saintes et saints dont s'honorer la province : Saint Materne, Saint Florent, Saint Léon, Saint Armand, Saint Morand, St-Léger, Saint Odile, Sainte Eugénie, Sainte Aurélie, Sainte Hune et sainte Richarde.[4]
- Le 15 août 1942, la statue à l’effigie de Notre-Dame de Strasbourg sculptée par quelques routiers alsaciens est présentée au pèlerinage du Puy avec le vœu de la ramener en terre d’Alsace après la libération.
- En 1946 la Vierge revient triomphalement en Alsace en un pèlerinage qui traverse les villages de Pfetterhouse à la Cathédrale de Strasbourg où la statue est accueillie par Mgr Weber.
- 1947 - installation de la statue Notre-Dame de Strasbourg au Dompeter.
- En 1950, la province scoute d’Alsace organise un rallye au Dompeter pour fêter un triple anniversaire : 900 ans du Dompeter, 30 ans de scoutisme en Alsace, 20 ans de la garde du sanctuaire confiée aux Scouts.
Le lundi de Pentecôte, l’autel mémorial est consacré par Mgr Weber. C’est une simple table romane entourée dans le fond du chœur de panneaux rappelant les noms des 214 scouts tombés pendant la guerre 1939-1945 sous l’uniforme français ou allemand - pour les Malgré Nous - , résistants, clandestins, déportés et aussi combattants d’Indochine et d’Algérie.
Pour beaucoup d’entre eux leur sépulture est inconnue, ce sera le seul monument rappelant leur mémoire.
Le Dompeter est pour les Scouts et Guides de France d’Alsace un signe de fidélité à l’Église et de fidélité à la Patrie, c’est un double engagement auquel les lie leur promesse scoute
Les Amis du Dompeter
En 1957, les Scouts de France de la province d’Alsace créent l’association « Les Amis du Dompeter ». Cette association a pour but d'aider les Scouts et guides de France d'Alsace, gardien du lieu, à entretenir l'église, à la faire connaître comme centre spirituel et comme leur mémorial. Chaque année, le 11 novembre, jeunes et anciens du mouvement scouts et guides sont conviés à une célébration en mémoire des scouts tombés durant la seconde guerre mondiale.
L'association a organisé dans le cadre du centenaire du scoutisme en 2007 une grande exposition sur l'histoire du mouvement Scouts et guides de France en Alsace. Elle est présidée depuis 2014 par Christian WILHELM.
Illustrations
Vue aérienne
Vue aérienne du Dompeter.
Liens externes
- Brochure de 1934 donnant l'histoire du Dompeter
- Éléments scouts sur le site des Amis du Dompeter
- Photos sur la "Cartoscoute"
- Petit reportage TV
- ↑ Dernières Nouvelles de Strasbourg, Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace"), Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 12
- ↑ 2,0 et 2,1 Dernières Nouvelles de Strasbourg, Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace"), Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 13
- ↑ Pierre Lorson, Charles Ruch, évêque de Strasbourg (1873-1945), F.-X. Le Roux, Strasbourg, 1948
- ↑ Dernières Nouvelles de Strasbourg, Dompeter (Collection "Les merveilles de l'Alsace"), Edition Dernières Nouvelles de Strasbourg, Strasbourg, 1958, Page 13-14