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Né en 1926 dans la bourgeoisie catholique, '''Paul Rendu''' est historien puis sociologue. Il est louveteau à Sainte-Croix de Neuilly en 1935, puis à la 44ème Paris (Gerson) en 1939, et commissaire de district éclaireurs en [[1951]]. Après son Breuil en 1951 il succède à [[Pierre Roux]] comme ACNR.
Né en [[1926]] dans la bourgeoisie catholique, '''Paul Rendu''' est historien puis sociologue. Il est louveteau à Sainte-Croix de Neuilly en [[1935]], puis à la [[Groupe SUF Paris - Notre-Dame de Gerson|44{{e}} Paris (Gerson)]] en [[1939]], routier et ACC au clan de "la Muette" (16{{e}} arrondissement), Commissaire de district éclaireurs en [[1951]]. Après son Breuil dans le Jura à Pâques [[1951|1951]], [[Pierre Roux]], intéressé par sa qualification de géographe, l'appelle pour renforcer le comité de rédaction de l'ENR. ACNR près le départ de [[Pierre Roux]] en 52, Paul Rendu est Commissaire National [[Routiers (Scouts de France)|Route]] des [[Scouts de France]] de [[1954]] à [[1957]].


De [[1954]] à [[1957]], il est Commissaire National Route des [[Scouts de France]]. Proche du P.[[Pierre-André Liégé]], il veut ouvrir la Route sur le monde et la transformer en mouvement de jeunesse. En tournée en Algérie avec [[Michel Rigal]] au lendemain de la Toussaint rouge, il contribue à la lettre adressée au Gouverneur général de l’Algérie par quinze mouvements de jeunes d’Algérie, le [[20 novembre]] [[1954]]. Il anime ensuite le '''Comité de résistance spirituelle''', qui s'oppose à la guerre d'Algérie.
Proche du P. [[Pierre-André Liégé]], il veut ouvrir la Route sur le monde et la transformer en mouvement de jeunesse. En tournée en Algérie avec [[Michel Rigal]] au lendemain de la Toussaint rouge, il contribue à la lettre adressée au Gouverneur général de l’Algérie par quinze mouvements de jeunes d’Algérie, le [[20 novembre]] [[1954]]. Il anime ensuite le '''Comité de résistance spirituelle''', qui s'oppose à la guerre d'Algérie.


Il démissionne avec fracas lors de la [[Crise de la Route]].
Il démissionne avec fracas lors de la [[Crise de la Route]] en mai [[1957]]. Il fut ensuite permanent à la [[Vie nouvelle]] de 1957 à 1959, puis directeur du centre de sociologie urbaine au CNRS.


=== Voir aussi ===
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==Liens externes==
==Liens externes==
* [[Routiers (Scouts de France)|Proposition Route SDF]]
* [http://www.27paris.net/histoire/paris/glossaire_noms.php#R Courte biographie sur le site de la 27ème Paris]
* [http://www.27paris.net/histoire/paris/glossaire_noms.php#R Courte biographie sur le site de la 27ème Paris]
* [http://www.scoutunjour.org/spip.php?article224 « Les Scouts de France et la guerre d’Algérie », article de Jean-Jacques Gauthé et Lionel Christien sur Scout un jour]
* {{Lien web|url=https://www.latoilescoute.net/Alger-Paris-les-Scouts-de-France|auteur=[[Jean-Jacques Gauthé]]|coauteurs=[[Lionel Christien]]|titre=Alger-Paris : les Scouts de France et la guerre d’Algérie|site=latoilescoute.net|date=12 janvier 2006|consulté le=15 novembre 2021}}


{{portail personnalités}}
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Dernière version du 30 août 2022 à 14:42

Paul Rendu
Robert Bajard (à droite) à Jambville avec Jean Muller (au centre) et Paul Rendu (à gauche)
Robert Bajard (à droite) à Jambville avec Jean Muller (au centre) et Paul Rendu (à gauche)
CNR des SDF
Naissance : 1926

Personnalité scouts de France

Scouts de France.

Personnalité française

France.

Né en 1926 dans la bourgeoisie catholique, Paul Rendu est historien puis sociologue. Il est louveteau à Sainte-Croix de Neuilly en 1935, puis à la 44e Paris (Gerson) en 1939, routier et ACC au clan de "la Muette" (16e arrondissement), Commissaire de district éclaireurs en 1951. Après son Breuil dans le Jura à Pâques 1951, Pierre Roux, intéressé par sa qualification de géographe, l'appelle pour renforcer le comité de rédaction de l'ENR. ACNR près le départ de Pierre Roux en 52, Paul Rendu est Commissaire National Route des Scouts de France de 1954 à 1957.

Proche du P. Pierre-André Liégé, il veut ouvrir la Route sur le monde et la transformer en mouvement de jeunesse. En tournée en Algérie avec Michel Rigal au lendemain de la Toussaint rouge, il contribue à la lettre adressée au Gouverneur général de l’Algérie par quinze mouvements de jeunes d’Algérie, le 20 novembre 1954. Il anime ensuite le Comité de résistance spirituelle, qui s'oppose à la guerre d'Algérie.

Il démissionne avec fracas lors de la Crise de la Route en mai 1957. Il fut ensuite permanent à la Vie nouvelle de 1957 à 1959, puis directeur du centre de sociologie urbaine au CNRS.

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]

Liens externes[modifier | modifier le wikicode]