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Scoutisme des camps de prisonniers (modifier)

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 Dans le [[Kim (agenda)|KIM]] de 1943 écrit par des [[Eclaireurs de France]], un texte est écrit par un prisonnier de l'OFLAG IV D à destination des scouts "libres".
-Plus exceptionel encore, à Buchenwald en 1943 un scout luxembourgeois [[Robert Schaffner]] a regroupé une "troupe scoute" se réunissant régulièrement dans des conditions extrêmes. Les "feux de camps" étaient ainsi des chants murmurés autour d'une bougie, mais l'esprit de camaraderie et le soutien psychologique furent considérables. Robert "d'Echternbach" réitéra l'expérience lorsqu'il fut transferé au camp de Lublin, à Auschxitz, à Gross-Roen et enfin à Litmeritz<ref>H. St Georges Saunders. T''he left handshake - The Boy Scout movement during the war 1939-1945''. London, 1949, pp. 95-98</ref>.
+Plus exceptionel encore, à Buchenwald en 1943 un scout luxembourgeois [[Robert Schaffner]] a regroupé une "troupe scoute" se réunissant régulièrement dans des conditions extrêmes. Les "feux de camps" étaient ainsi des chants murmurés autour d'une bougie, mais l'esprit de camaraderie et le soutien psychologique furent considérables. Robert "d'Echternbach" réitéra l'expérience lorsqu'il fut transferé au camp de Lublin, à Auschxitz, à Gross-Roen et enfin à Litmeritz<ref>{{ouvrage|auteur=H. St Georges Saunders|titre= The left handshake - The Boy Scout movement during the war 1939-1945|lieu=London|année= 1949|passage= 95-98}}</ref>.
 Après [[1945]] et jusqu'à la fin des années 60, dans le scoutisme comme ailleurs dans la société française, l'esprit P.G est souvent présent et peut servir de grille d'analyse à certains comportements.