« Carlo Boller » : différence entre les versions

	Artiste scout.
	Suisse.

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Prénommmé en réalité Charles-Henri, Carlo Boller est né le 4 mai 1896 à Menton, sur la Riviera française, et mort à Lausanne (Suisse) le 23 janvier 1952.

Selon P. Ernst et R. Hanquet, il est connu « pour ses harmonisations de chants populaires et surtout comme directeur de chorales. » Il collabore avec Gustave Daumas pour réaliser les chansonniers Le Roland et Montjoie.

Très tôt, il doit abandonner sa carrière de violoniste en raison d'une crispation incurable de la main gauche. Formé à la Schola Cantorum de Paris, il devient chef d'orchestre (premier prix en 1928, diplôme en 1932) avec un intérêt accru pour la chanson populaire. De retour en Suisse, il s'installe à Vevey, où il dirige plusieurs choeurs et groupes vaudois et fribourgeois, et consacre une grande partie de son temps à la composition. De ses oeuvres, on retient surtout ses "festivals" : l'oratorio populaire Images de mon pays, La Pastorale gruérienne, Pauvre Jacques.

Liens internes

Harmonisations de Carlo Boller :

Sources

Biographie sur le site de l'Association Vaudoise des Directeurs de Choeurs
Tiouli, P. Ernst et R. Hanquet, Éditions Famille et Jeunesse, Bruxelles, 1954.

Les personnalités scoutes

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 Prénommmé en réalité Charles-Henri, '''Carlo Boller''' est né le [[4 mai]] 1896 à Menton, sur la Riviera française, et mort à Lausanne (Suisse) le [[23 janvier]] [[1952]].
-Il est connu " pour ses harmonisations de chants populaires et surtout comme directeur de chorales. " Il collabore avec [[Gustave Daumas]] pour réaliser les chansonniers ''[[Le Roland]]'' et ''[[Montjoie]]''.
+Selon P. Ernst et R. Hanquet, il est connu « pour ses harmonisations de chants populaires et surtout comme directeur de chorales. » Il collabore avec [[Gustave Daumas]] pour réaliser les chansonniers ''[[Le Roland]]'' et ''[[Montjoie]]''.
 Très tôt, il doit abandonner sa carrière de violoniste en raison d'une crispation incurable de la main gauche. Formé à la '''Schola Cantorum''' de Paris, il devient chef d'orchestre (premier prix en 1928, diplôme en 1932) avec un intérêt accru pour la chanson populaire. De retour en Suisse, il s'installe à Vevey, où il dirige plusieurs choeurs et groupes vaudois et fribourgeois, et consacre une grande partie de son temps à la composition. De ses oeuvres, on retient surtout ses "festivals" : l'oratorio populaire ''Images de mon pays'', ''La Pastorale gruérienne'', ''Pauvre Jacques''.