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Jeune, il fait d'abord partie des [[Éclaireurs unionistes de France]] puis rejoint les [[Éclaireuses et éclaireurs israélites de France|éclaireurs israélites de France]] dès leur création. Il entre à la Route EI dans le fameux Clan de l’Élan avec des EI exceptionnels comme [[Léo Cohn]], [[Robert Munnich]] ou [[Jacques Pulver]]. | Jeune, il fait d'abord partie des [[Éclaireurs unionistes de France]] puis rejoint les [[Éclaireuses et éclaireurs israélites de France|éclaireurs israélites de France]] dès leur création. Il entre à la Route EI dans le fameux [[Clan de l’Élan]] avec des EI exceptionnels comme [[Léo Cohn]], [[Robert Munnich]] ou [[Jacques Pulver]]. | ||
Il devient [[commissaire]] national adjoint et bras droit de [[Robert Gamzon]] puis en novembre [[1940]], il est envoyé à Uriage au titre du [[Scoutisme français]]. Pendant la guerre, il dirige avec son épouse Shatta Simon, qui vient des [[ Hachomer Hatzaïr]], les centres ruraux et artisanaux de la ''Sixième'', notamment la maison de Moissac. | Il devient [[commissaire]] national adjoint et bras droit de [[Robert Gamzon]] puis en novembre [[1940]], il est envoyé à Uriage au titre du [[Scoutisme français]]. Pendant la guerre, il dirige avec son épouse Shatta Simon, qui vient des [[ Hachomer Hatzaïr]], les centres ruraux et artisanaux de la ''Sixième'', notamment la maison de Moissac. |
Dernière version du 21 février 2021 à 22:23
Photo d’Édouard Simon
1905 · 1993
Éclaireuses et éclaireurs israélites de France. |
France. |
Édouard Simon (1905 Elbeuf -1993), dit Bouli, fut une personnalité des Éclaireuses et éclaireurs israélites de France.
Jeune, il fait d'abord partie des Éclaireurs unionistes de France puis rejoint les éclaireurs israélites de France dès leur création. Il entre à la Route EI dans le fameux Clan de l’Élan avec des EI exceptionnels comme Léo Cohn, Robert Munnich ou Jacques Pulver.
Il devient commissaire national adjoint et bras droit de Robert Gamzon puis en novembre 1940, il est envoyé à Uriage au titre du Scoutisme français. Pendant la guerre, il dirige avec son épouse Shatta Simon, qui vient des Hachomer Hatzaïr, les centres ruraux et artisanaux de la Sixième, notamment la maison de Moissac.
Après guerre, les époux Simon sont responsables du foyer de Laversine.