« Renée de Montmort » : différence entre les versions

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Après des études d'infirmière  au dispensaire des enfants de France, elle dirige en Angleterre le "Robert Browling Settlement", une oeuvre sociale s'occuppant de familles ouvrières.
Après des études d'infirmière  au dispensaire des enfants de France, elle dirige en Angleterre le "Robert Browling Settlement", une oeuvre sociale s'occuppant de familles ouvrières.


En 1912, elle rencontre [[Marie Diemer]]et leurs oeuvres se confondent en partie tant sur le plan scoutisme que sur le plan de l'action sociale.
En 1912, elle rencontre [[Marie Diemer]] et leurs oeuvres se confondent en partie tant sur le plan scoutisme que sur le plan de l'action sociale.
En 1913, elle participe au Conseil international des femmes.
En 1913, elle participe au Conseil international des femmes.



Version du 10 janvier 2007 à 18:41

née le 2 août 1881 à Paris, morte en 1960

Renée Loppin de Montmort a vécu, jusqu'à l'âge de 8 ans, au cap de Bonne Espérance.Son grand-père maternel, suédois, possède de nombreux bien en Afrique du Sud et Renée maitrise parfaitement l'anglais.

Après des études d'infirmière au dispensaire des enfants de France, elle dirige en Angleterre le "Robert Browling Settlement", une oeuvre sociale s'occuppant de familles ouvrières.

En 1912, elle rencontre Marie Diemer et leurs oeuvres se confondent en partie tant sur le plan scoutisme que sur le plan de l'action sociale. En 1913, elle participe au Conseil international des femmes.

Renée est convaincue de la nécessité de préparer une élite féminine au service de la France (projet des "Gardiennes de France").Sa rencontre avec la méthode scoute l'incitera à accueillir dans son chateau d'Argeronneles deux premiers camps internationaux d'éclaireuses, en 1922 et 1923.

Argeronne sera ensuite le théâtre de nombreux camps de rencontres et de formation.

Renée occuppera la fonction de commissaire international des Guides de Francejusqu'en 1930.

En 1945, au cours d'une mission pour les oeuvres sociales en Allemagne,  elle contracte une maladie qui la laisse paralysée.

Elle sera soignée par une éclaireuse, Madeleine Caron dite "Rainette", à qui elle léguera Argeronne à sa mort.