« Renée Sainte-Claire Deville » : différence entre les versions

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|légende        = "Coq noir" avec les commissaires FFE en 1936
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[[Image:DT XVIII - Renee Sainte-Claire Deville.jpg|gauche|vignette|Couverture du DT XVIII consacré à "Coq noir"]]
'''Renée Sainte-Claire Deville''' est née en [[1889]] dans une famille de savants et de militaires, originaire des Antilles, qui compte parmi ses rangs le célèbre chimiste Henri-Etienne.
'''Renée Sainte-Claire Deville''' est née 3 février [[1889]] dans une famille de savants et de militaires, originaire des Antilles, qui compte parmi ses rangs le célèbre chimiste Henri-Étienne.


Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris  
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris.


Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.
Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.


Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d’ [[André Lefevre]], des [[Eclaireurs de France]] et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe).   
Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d'[[André Lefevre]], des [[Éclaireurs de France]] (EDF) et de [[la Maison pour Tous]] de la rue Mouffetard (La Mouffe).   
 
En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Éclaireuses]] (FFE).


En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Eclaireuses]] (FFE)
En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la FFE qu'elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget. Son [[Totem (nom de totem)|totem]] est '''''Coq noir'''''.


En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la FFE qu’elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget.  
Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe ».


Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe »
En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en [[1945]].


En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge  en [[1945]].
En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des EDF.


En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des Eclaireurs de France (EDF)
Elle est morte à Paris le [[17 juillet]] [[1967]].


Elle est morte à Paris le [[7 juillet]] [[1968]]
Pour en savoir plus :


{{Portail personnalités}}
* [https://astrales.fr/renee-sainte-claire-deville-cofondatrice-de-la-ffe-et-de-la-pedagogie-des-petites-ailes/ Renée Sainte-Claire Deville sur Les Astrales Histoire de la FFE]
* [[wp-fr:Renée Sainte-Claire Deville|Renée Sainte-Claire Deville]] sur Wikipédia


[[Catégorie:Fondateur]]
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{{portail personnalités|portail histoire}}
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