« René Michel Lhopital » : différence entre les versions

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complément biographique 1934-1936
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(complément biographique 1934-1936)
 
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Son épouse était aussi cheftaine, elle contracta le tétanos en camp et en mourut. Son nom fut donné à un [[district]] de Paris.
Son épouse était aussi cheftaine, elle contracta le tétanos en camp et en mourut. Son nom fut donné à un [[district]] de Paris.


Officier d'active, il obtient cinq citations, de [[1914]] à [[1918]]. Choisi en [[1919]] comme officier d'ordonnance par le maréchal Foch, il l'accompagna souvent en mission à l'étranger. Mobilisé en [[1939]], il revient à Paris pour fonder un mouvement de résistance : l’''Armée des Volontaires''. Prisonnier des allemands une première fois en [[1941]], puis arrêté à nouveau le [[24 janvier]] [[1942]], il est incarcéré au camp d'Inzert, puis à Trêves, et enfin déporté dans les camps de Sachsen-Oranienburg puis de Buchenwald.  Jugé par le « Tribunal du Peuple » en mai [[1943]], il est destiné à disparaitre. Il est libéré de Buchenwald en [[1944]], ayant maigri de 40 kilos. Il ne put en revenir que grâce à son moral et à sa Foi.
Officier d'active, il obtient cinq citations, de [[1914]] à [[1918]]. Choisi en [[1919]] comme officier d'ordonnance par le maréchal Foch, il l'accompagna souvent en mission à l'étranger.
 
Blessé pendant les émeutes du 6 février 1934, il adhère à l'Association des blessés du 6 février fondée par Darquier de Pellepoix. Espérant une réconciliation franco-allemande qui permettrait d'éviter une nouvelle guerre et de mettre en place « enfin les réalisations d'ordre et de travail nécessaires à la sécurité intérieure et extérieure » de ces deux pays , il accepte la présidence du Comité France-Allemagne, de sa fondation en novembre 1935 à février 1936. [https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Lhopital]
 
Mobilisé en [[1939]], il revient à Paris pour fonder un mouvement de résistance : l’''Armée des Volontaires''. Prisonnier des allemands une première fois en [[1941]], puis arrêté à nouveau le [[24 janvier]] [[1942]], il est incarcéré au camp d'Inzert, puis à Trêves, et enfin déporté dans les camps de Sachsen-Oranienburg puis de Buchenwald.  Jugé par le « Tribunal du Peuple » en mai [[1943]], il est destiné à disparaitre. Il est libéré de Buchenwald en [[1944]], ayant maigri de 40 kilos. Il ne put en revenir que grâce à son moral et à sa Foi.


Il fait partie des fondateurs des Petits chanteurs à la croix de bois. Le commandant puis colonel Lhopital était familièrement surnommé Lhopi.
Il fait partie des fondateurs des Petits chanteurs à la croix de bois. Le commandant puis colonel Lhopital était familièrement surnommé Lhopi.
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