« Michel Rigal » : différence entre les versions
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En [[1945]], il rentre de captivité et succède à [[Jacques Chaveyriat]] en tant que commissaire national Route (CNR). À 31 ans, il devient le premier permanent salarié du mouvement. Après son mariage en [[1946]], il aura six enfants. | En [[1945]], il rentre de captivité et succède à [[Jacques Chaveyriat]] en tant que commissaire national Route (CNR). À 31 ans, il devient le premier permanent salarié du mouvement. Après son mariage en [[1946]], il aura six enfants. | ||
Selon le frère Yves Combeau, « il oriente la Route dans la direction des réflexions menées aussi bien autour de [[André Cruiziat|Cruiziat]] et [[Pierre Goutet|Goutet]] qu’en stalag : catholicisme social, thème des mouvements de jeunesse, communautarisme ; mais il ne parvient pas à empêcher l’effondrement des effectifs de la Route entre [[1945]] et [[1950]]. »<ref> | Selon le frère Yves Combeau, « il oriente la Route dans la direction des réflexions menées aussi bien autour de [[André Cruiziat|Cruiziat]] et [[Pierre Goutet|Goutet]] qu’en stalag : catholicisme social, thème des mouvements de jeunesse, communautarisme ; mais il ne parvient pas à empêcher l’effondrement des effectifs de la Route entre [[1945]] et [[1950]]. »<ref>{{lien web|url=https://web.archive.org/web/20161014090913/http://www.27paris.net/histoire/paris/glossaire_noms.php#R|site=27paris.net (archive)|auteur=[[Yves Combeau]]|titre=Rigal, Michel|consulté le=30 août 2022}}</ref>. | ||
== Les débuts au Commissariat général == | == Les débuts au Commissariat général == |