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'''Marguerite Pichon-Landry''' (1878-1972) fut une personnalité de la [[Fédération française des éclaireuses]].
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Issue d'un milieu intellectuels et de politiques c'est une importante militante féministe, notamment du suffrage des femmes.
'''Marguerite Pichon-Landry''' ([[1877]]-[[1972]]) fut une personnalité de la [[Fédération française des éclaireuses]].


Elle est présidente de la FFE à des dates qui vont de 1939 à 1946 ?. Ce n'était pas une éclaireuse de terrain mais une notable.
Issue d'un famille d'intellectuels et de politiques, elle fit des études juridiques et, avec ses sœurs, militait notamment pour le suffrage des femmes. Elle fût en particulier présidente du Conseil national des femmes françaises. Elle rédigea un important rapport sur l'admission des femmes à la fonction publique. Elle adhéra à l'International Federation of University women (aux côtés de Marie Curie et d'Irène Joliot-Curie) qui avait pour but de faciliter aux jeunes filles l'accès aux études supérieures et aux carrières internationales.


[[Catégorie: Personnalité de la Fédération française des éclaireuses]]
Grâce à ses connaissances juridiques elle aida Marguerite Walther et l'équipe de pionnières à rédiger pour la FFE des statuts conformes à la loi de 1901 sur les associations. C'est ainsi qu'elle devint présidente de la FFE en 1924 et le resta jusqu'à la fin<ref>extrait d'un texte paru dans le DT par Hélène Jouffroy</ref>.
 
Pratiquement, elle n'a pas participé pas aux activités de la FFE, mais elle était juriste, et a bien dépanné la FFE en plusieurs circonstances.
 
== Voir aussi ==
* [[Liste des présidentes de la fédération française des éclaireuses]]
* [http://musea.univ-angers.fr/rubriques/elements/popup/popup_esp.php?ref_notice=679 Biographie sur le site de l'université d'Angers]
* [http://archivesfmsh.hypotheses.org/709 Présentation de son fonds d'archive]
=== Notes et références ===
 
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Dernière version du 14 avril 2017 à 21:14

Marguerite Pichon-Landry (1877-1972) fut une personnalité de la Fédération française des éclaireuses.

Issue d'un famille d'intellectuels et de politiques, elle fit des études juridiques et, avec ses sœurs, militait notamment pour le suffrage des femmes. Elle fût en particulier présidente du Conseil national des femmes françaises. Elle rédigea un important rapport sur l'admission des femmes à la fonction publique. Elle adhéra à l'International Federation of University women (aux côtés de Marie Curie et d'Irène Joliot-Curie) qui avait pour but de faciliter aux jeunes filles l'accès aux études supérieures et aux carrières internationales.

Grâce à ses connaissances juridiques elle aida Marguerite Walther et l'équipe de pionnières à rédiger pour la FFE des statuts conformes à la loi de 1901 sur les associations. C'est ainsi qu'elle devint présidente de la FFE en 1924 et le resta jusqu'à la fin[1].

Pratiquement, elle n'a pas participé pas aux activités de la FFE, mais elle était juriste, et a bien dépanné la FFE en plusieurs circonstances.

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]

Notes et références[modifier | modifier le wikicode]

  1. extrait d'un texte paru dans le DT par Hélène Jouffroy