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Il entre à 18 ans au printemps [[1920]] à la 23{{e}} unité Carlo-St Job à Uccle. Il est totémisé Ramier solitaire. Pendant vingt ans, il y sera successivement [[chef de troupe]], [[chef de meute]], [[chef de clan]] et [[chef d'unité]]. Il dirige dès [[1923]] la Commission Technique des [[Belgian catholic scouts]] et est nommé rédacteur en chef de la revue Le Boy-Scout en [[1924]]. | Il entre à 18 ans au printemps [[1920]] à la 23{{e}} unité Carlo-St Job à Uccle. Il est totémisé Ramier solitaire. Pendant vingt ans, il y sera successivement [[chef de troupe]], [[chef de meute]], [[chef de clan]] et [[chef d'unité]]. Il dirige dès [[1923]] la Commission Technique des [[Belgian catholic scouts]] et est nommé rédacteur en chef de la revue Le Boy-Scout en [[1924]]. | ||
Avocat, il entre au barreau de Bruxelles, en [[1927]] où il restera pendant vingt ans. C'était avant tout devant les chambres civiles et le tribunal de commerce qu'il aimait plaider. Il est successivement commissaire | Avocat, il entre au barreau de Bruxelles, en [[1927]] où il restera pendant vingt ans. C'était avant tout devant les chambres civiles et le tribunal de commerce qu'il aimait plaider. Il est successivement [[commissaire de district]] de Bruxelles-Sud en [[1933]], [[commissaire provincial]] du Brabant en janvier 1934]] puis [[commissaire à la route]] de la [[Fédération des scouts catholiques]] en mai [[1935]]. Commissaire général adjoint des [[Scouts Baden-Powell de Belgique]] en [[1937]] à côté d'Armand De Coninck. Il est un des fondateurs du [[Bureau Interfédéral Belge du Scoutisme]] en [[1938]], dont il sera le troisième président en [[1940]]. En [[1938]], il se consacre entièrement aussi à la campagne du [[Fonds National du Scoutisme]]. | ||
Le 17 mars [[1940]], il est nommé [[commissaire fédéral]] de la [[Fédération des scouts catholiques]] puis en mai 1940, lieutenant de réserve d'infanterie au 2e Carabiniers, il rejoint sa compagnie près du fort d'Eben-Emael où il fut blessé. Alors que la position du Canal Albert où il se trouvait, avait été tournée par l'ennemi, il tenta avec quelques-uns de ses hommes de rejoindre les lignes organisées et ne fut fait prisonnier qu'à la fin d'une marche de nuit éreintante et pleine de péripéties à travers les lignes allemandes. | Le 17 mars [[1940]], il est nommé [[commissaire fédéral]] de la [[Fédération des scouts catholiques]] puis en mai 1940, lieutenant de réserve d'infanterie au 2e Carabiniers, il rejoint sa compagnie près du fort d'Eben-Emael où il fut blessé. Alors que la position du Canal Albert où il se trouvait, avait été tournée par l'ennemi, il tenta avec quelques-uns de ses hommes de rejoindre les lignes organisées et ne fut fait prisonnier qu'à la fin d'une marche de nuit éreintante et pleine de péripéties à travers les lignes allemandes. En captivité, il organise des [[camps-écoles]] et lance la [[route des barbelés]], dont le développement va de pair avec la [[Route des Hommes]] ( devenue [[Fraternité de Route]]), en Belgique occupée. En avril [[1945]], l'Oflag de Fischbeck est libéré et Léon Van Der Beken reprend ses fonctions de [[commissaire fédéral]] de la [[Fédération des scouts catholiques]] jusqu'en [[1947]]. Le 18 mai 1945, il épouse Marguerite Jacobs, [[Akela Leader]] et résistante pendant la guerre. | ||
En [[1947]], il quitte Bruxelles et son métier d'avocat pour entrer à l'ESMA-Malmédy en tant que directeur du personnel. Il ne quitte pas, cependant, le mouvement. Il est nommé conseiller fédéral de la [[Fédération des scouts catholiques]] et chef routier de district des Hautes-Fagnes. En [[1952]], il est [[commissaire de district]] des Hautes-Fagnes jusqu'en [[1960]]. Puis de [[1961]] à [[1965]], [[chef d'unité]] de la 2e Hautes-Fagnes (Malmédy). Toujours en 1952, il est membre du conseil d'administration de la [[Fédération des scouts catholiques]] jusqu'en [[1972]], année à laquelle il quitte le mouvement actif. | |||
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