« Jeanne Paschoud » : différence entre les versions

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'''Jeanne Paschoud''', née à Lutry le  [[5 mai]] [[1885]] et morte le [[7 janvier]] [[1968]], commença sa carrière comme institutrice à Lausanne, elle enseigne l'arithmétique puis la psychologie à l'école Vinet pendant 60 ans. En [[1915]], elle y fonda la première section d’éclaireuses, appelées initialement les Maïentzettes. C'est sur son invitation, qu'en [[1917]] des cheftaines de plusieurs villes suisses se réunirent pour la première fois à Lausanne pour poser les fondements de ce qui allait devenir en 1919 la [[Fédération des éclaireuses Suisse]] (FESes). A ce titre elle est une des fondatrices du scoutisme féminin suisse. Jeanne  Paschoud resta [[commissaire]] de l’Association Cantonale des Eclaireuses Vaudoises (ACEV) jusqu’en 1935.
   
   
Elle se consacra ensuite aux questions de jeunessee et fut une des premières femmes à sièger comme juge en Chambre pénale du canton de Vaud.
Elle se consacra ensuite aux questions de jeunesse et fut une des premières femmes à sièger comme juge en Chambre pénale du canton de Vaud.


==Liens==
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Dernière version du 24 janvier 2023 à 13:20

Jeanne Paschoud, née à Lutry le 5 mai 1885 et morte le 7 janvier 1968, commença sa carrière comme institutrice à Lausanne, elle enseigne l'arithmétique puis la psychologie à l'école Vinet pendant 60 ans. En 1915, elle y fonda la première section d’éclaireuses, appelées initialement les Maïentzettes. C'est sur son invitation, qu'en 1917 des cheftaines de plusieurs villes suisses se réunirent pour la première fois à Lausanne pour poser les fondements de ce qui allait devenir en 1919 la Fédération des éclaireuses Suisse (FESes). A ce titre elle est une des fondatrices du scoutisme féminin suisse. Jeanne Paschoud resta commissaire de l’Association Cantonale des Eclaireuses Vaudoises (ACEV) jusqu’en 1935.

Elle se consacra ensuite aux questions de jeunesse et fut une des premières femmes à sièger comme juge en Chambre pénale du canton de Vaud.

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