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| |fondation = [[1920]] | | |fondation = [[1920]] |
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| |fondateurs = E.Bénignus | | |fondateurs = |
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| |adresse = Presbytère, boulevard Vauban | | |adresse = |
| |ville = Nouméa | | |ville = Nouméa |
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| |unités = Troupe (nº204)<br/>Meute (nº336) | | |unités = Troupe (nº204) |
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| {{citation|Région de l’Ouest<br/> | | {{citation|Région de l’Ouest<br/> |
| '''Nouméa''' — La troupe compte 24 éclaireurs et continue à bien marcher. Réunion de jeux, de lecture. — Concours de patrouilles pour les présences et la tenue. — Examens de 1{{re}}— classe et brevets.|''[[L'éclaireur unioniste|L’Éclaireur Unioniste]]'', 9{{e}} année, nº2, 15{{er}} janvier 1922, p.24}} | | '''Nouméa''' — La troupe compte 24 éclaireurs et continue à bien marcher. Réunion de jeux, de lecture. — Concours de patrouilles pour les présences et la tenue. — Examens de 1{{re}}— classe et brevets.|''[[L'éclaireur unioniste|L’Éclaireur Unioniste]]'', 9{{e}} année, nº2, 15{{er}} janvier 1922, p.24}} |
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| {{citation|'''Les EU en Nouvelle-Calédonie<br/>
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| En 1918-19, sur l’initiative de Raymond Leenhardt, quelques jeunes garçons de Nouméa se groupaient en association d’Éclaireurs mais ne se rattachaient à aucun groupement. Au début en 1920, un troupe d’Éclaireurs Unonistes nº294 était constituée sous la direction du chef président : pasteur E.Benignus. Chef de troupe : Alex Meyer<br/>
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| Deux patrouilles : les Cagous et les Roussettes.<br/>
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| Les uniformes réglementaires, sauf le chapeau remplacé par le casque, avec le foulard bleu, venaient donner à la troupe un caractère plus homogène.<br/>
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| Des réunions au local tous les quinze jours, une sortie chaque jeudi après-midi perttaient qux jeunes EU de se distrare tout en se ddéveloppant moralement et religieusement.
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| Une fête annuelle offerte aux parents et aux amis d’éclaireurs permettait d’envoyer, chaque année un secours aux troupes de France des pays envahis. Cette fête préparée de longue date fournissait l’occasion de réunions supplémentaires appréciées de tous.<br/>
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| Un ou deux camps annuels fort bien réussis mettaient en valeur les qualités de « débrouillards » de nos jeunes Nioulis. Le climat idéal de Calédonie est bien fait pour le camping. Sous les bois de fer, près de la rivière Dumbéa, nos jeunes se livraient à toutes les joies de la natation et des jeux en plein air. La troupe comptait au bout de trois ans une troisième patrouille, celle des Nautous et pouvait grouper à un camp de Pâques trente-deux éclaireurs.<br/>
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| Après le départ du chef Alex Meyer, la troupe fut dirigée par son frère Gustave Meyer, par Gustave Lods, remplacés ensuite par les deux chefs de patrouille Jean Meyer et Willie Benignus.<br/>
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| La troupe EU de Nouméa a connnu des périodes plus ou moins florissantes ; en raison de son isolment, elle manquait d’émulation ; mais, malgré tous ses déficits, je sais qu’elle a fait et continue à faire du bien à nos jeunes Calédoniens.|E. Bénignus, ''[[Jidézé|Le Journal des Éclaireurs]]'', 7{{e}} année, nº10, 20 mai 1931, p.164}}
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| {{citation|'''Des nouvelles de Nouméa !'''<br/>
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| D’après leur dernière lettre, les éclaireurs de Nouméa préparaient une fête de troupe destinée… comme partout ailleurs à remplir la caisse. [[Jean Beigbeder|Z’Œil]] nous disait l’autre jour que sa Région ne différait pas des autres… en voilà une nouvelle preuve.<br/>
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| La troupe est en grand progrès elle a eu un camp de Pâques merveilleux avec un très chic esprit ; et un culte excellent par le CT Meyer.<br/>
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| La grande attraction fut le pont suspendu en cordages et en lianes tressés que la troupe lança sur le Nondour, large de quinze mètres.<br/>
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| Sachant [[BP]] en Australie, donc… proche voisin, ils lui lancèrent un message, espérant le voir arriver bientôt chez eux.|''[[Jidézé|Le Journal des Éclaireurs]]'', 7{{e}} année, nº12, 20 juin 1931, p.208}}
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