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Dans les années 1930, Célier rejoint le [[Q.G]] comme C. N. E. adjoint de [[Michel Blanchon]], puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État. A Vichy il est directeur de cabinet du ministre Paul Baudouin, peut-être à la suggestion de [[Henry Dhavernas]]. Alors qu’il devient adjoint de Delsuc en 1944, il s'oppose rapidement à lui. | Dans les années 1930, Célier rejoint le [[Q.G]] comme C. N. E. adjoint de [[Michel Blanchon]], puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État. A Vichy il est directeur de cabinet du ministre Paul Baudouin, peut-être à la suggestion de [[Henry Dhavernas]]. Alors qu’il devient adjoint de Delsuc en 1944, il s'oppose rapidement à lui. | ||
Devenu avocat d'affaires, personnalité discrète mais influente il semble avoir partagé les idées sociales et politiques de [[Pierre Goutet]]. Il aurait monté en 1956, l'éviction du Général [[Joseph Lafont]], du Père [[Marcel Forestier]], Michel Blanchon, etc., du Conseil national. En 1973, Célier devient commissaire international et est chargé par [[Emile Visseaux]] de renouer les liens avec les autres associations et devient membre du bureau mondial de l'[[OMMS]]. | Devenu avocat d'affaires, personnalité discrète mais influente il semble avoir partagé les idées sociales et politiques de [[Pierre Goutet]]. Il aurait monté en 1956, l'éviction du Général [[Joseph Lafont]], du Père [[Marcel Forestier]], Michel Blanchon, etc., du Conseil national. En 1973, Célier devient commissaire international et est chargé par [[Emile-Xavier Visseaux]] de renouer les liens avec les autres associations et devient membre du bureau mondial de l'[[OMMS]]. | ||
Il meurt le 1er novembre 1992. Dernier paradoxe ses archives sont à Riaumont. | Il meurt le 1er novembre 1992. Dernier paradoxe ses archives sont à Riaumont. |
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