Charles Celier
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Loup de bronze. |
Scouts de France. |
Organisation Mondiale du Mouvement Scout. |
France. |
Fils de l'historien Léonce Celier, Charles Celier est scout à Versailles avec l’abbé Paul Richaud, puis animateur au «104 » et chef à la 25e Paris des Scouts de France.
Dans les années 1930, Célier rejoint le Q.G comme Commissaire National Éclaireur adjoint (CNEa) de Michel Blanchon, puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État.
Début 1939, il est nommé Commissaire Assistant du C.N. (Scoutisme)[1].
A Vichy, il est directeur de cabinet du ministre Paul Baudouin, peut-être à la suggestion de Henry Dhavernas[réf. nécessaire].
Alors qu’il devient adjoint de Pierre Delsuc en 1944, il s'oppose rapidement à lui. Après la guerre, commissaire international adjoint du Scoutisme français, il est envoyé aux États-Unis pour y étudier leur scoutisme.
Devenu avocat d'affaires, personnalité discrète mais influente, il semble avoir partagé les idées sociales et politiques de Pierre Goutet. Il aurait monté en 1956, l'éviction du Général Joseph Lafont, du Père Marcel Forestier, Michel Blanchon, etc., du Conseil national.
En 1973, Célier devient commissaire international et est chargé par Émile-Xavier Visseaux de renouer les liens avec les autres associations et devient membre du bureau mondial de l'OMMS. La même année, il reçoit le 75e loup de Bronze.
Il meurt le 1er novembre 1992. Quelques lettres de ses archives ont été confiées par Claude Marchal à Riaumont.
Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]
Notes et références