« Chant du routier solitaire » : différence entre les versions
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{{ | {{chant | ||
[[ | |introduction = ''Air adapté de "Home on the Range" de David Guion'' | ||
|musique = folklore américain | |||
|paroles = [[Jacques Sevin]] | |||
|date = 1935 | |||
|licence = copyright | |||
|mp3 = <mp3>Routier_sol.mp3|download</mp3> | |||
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|<poem>Qui me donnera de partir tout là-bas | |||
Loin du bruit, du plaisir et du mal ? | Loin du bruit, du plaisir et du mal ? | ||
Et d'ouvrir ma tente | Et d'ouvrir ma tente | ||
Souriant au soleil matinal ? | Aux couleurs éclatantes, | ||
Souriant au soleil matinal ? | |||
Chante, ô mon coeur chante | Chante, ô mon coeur chante ! | ||
La loi scoute et son pur idéal | La loi scoute et son pur idéal. | ||
Qui me donnera de partir tout là-bas | Qui me donnera de partir tout là-bas | ||
Loin du bruit, du plaisir et du mal.< | Loin du bruit, du plaisir et du mal.</poem> | ||
|<poem>Par d'étroits sentiers inconnus aux routiers | |||
J'ai grimpé solitaire et joyeux. | |||
J'ai grimpé solitaire et joyeux | J'ai tendu mes toiles | ||
J'ai tendu mes toiles | Sous les yeux des étoiles | ||
Sous les yeux des étoiles | Et ne veux plus revoir d'autres yeux. | ||
Et ne veux plus revoir d'autres yeux | |||
Rêve, ô mon coeur, rêve | Rêve, ô mon coeur, rêve ! | ||
Recueilli sous la tente des cieux | |||
Où d'étroits sentiers | Où d'étroits sentiers inconnus aux routiers | ||
T'ont conduit solitaire et joyeux</poem> | |||
T'ont conduit solitaire et joyeux< | |||
|<poem>Tout seul, face au ciel dans le soir solennel | |||
J'ai compris combien Dieu m'a chéri | |||
J'ai compris combien Dieu m'a chéri | Une paix profonde | ||
Une paix profonde | En mon coeur surabonde | ||
En mon coeur surabonde | En ces lieux où Sa gloire a sourit. | ||
En ces lieux où Sa gloire a sourit | |||
Pleure, ô mon coeur, pleure | Pleure, ô mon coeur, pleure ! | ||
Tant de jours égarés loin de Lui | Tant de jours égarés loin de Lui | ||
Et seul, face au ciel | Et seul, face au ciel, dans le soir solennel | ||
Reconnais combien Dieu t'a chéri</poem> | |||
Reconnais combien Dieu t'a chéri< | |||
|<poem>Au petit matin, je repars, fourche en main, | |||
Par les prés de rosée scintillants. | Par les prés de rosée scintillants. | ||
L'âme de Dieu pleine, | L'âme de Dieu pleine, | ||
Et reprends mon travail en riant | Je regagne ma plaine | ||
Et reprends mon travail en riant. | |||
Chante, ô mon coeur chante, | Chante, ô mon coeur chante, | ||
Plus joyeux, plus aimant, plus vaillant | Plus joyeux, plus aimant, plus vaillant ! | ||
Au petit matin, je repars, | Au petit matin, je repars, fourche en main, | ||
Par les prés de rosée scintillants.< | Par les prés de rosée scintillants.</poem> | ||
}} | |||
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Version du 6 novembre 2007 à 02:50
Ce chant n'est pas sous licence libre, et appartient à son auteur/éditeur et à ses ayants-droits. Tous droits réservés à ces derniers. Si vous êtes titulaire des droits sur ce chant et désirez qu'il soit retiré, veuillez nous contacter. |
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1er coupletdownload</mp3>
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2e couplet
Qui me donnera de partir tout là-bas
Loin du bruit, du plaisir et du mal ?
Et d'ouvrir ma tente
Aux couleurs éclatantes,
Souriant au soleil matinal ?
Chante, ô mon coeur chante !
La loi scoute et son pur idéal.
Qui me donnera de partir tout là-bas
Loin du bruit, du plaisir et du mal.
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3e couplet
Par d'étroits sentiers inconnus aux routiers
J'ai grimpé solitaire et joyeux.
J'ai tendu mes toiles
Sous les yeux des étoiles
Et ne veux plus revoir d'autres yeux.
Rêve, ô mon coeur, rêve !
Recueilli sous la tente des cieux
Où d'étroits sentiers inconnus aux routiers
T'ont conduit solitaire et joyeux
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4e couplet
Tout seul, face au ciel dans le soir solennel
J'ai compris combien Dieu m'a chéri
Une paix profonde
En mon coeur surabonde
En ces lieux où Sa gloire a sourit.
Pleure, ô mon coeur, pleure !
Tant de jours égarés loin de Lui
Et seul, face au ciel, dans le soir solennel
Reconnais combien Dieu t'a chéri
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5e couplet
Au petit matin, je repars, fourche en main,
Par les prés de rosée scintillants.
L'âme de Dieu pleine,
Je regagne ma plaine
Et reprends mon travail en riant.
Chante, ô mon coeur chante,
Plus joyeux, plus aimant, plus vaillant !
Au petit matin, je repars, fourche en main,
Par les prés de rosée scintillants.
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Musique | folklore américain | |
Paroles | Jacques Sevin | |
Écrit en | 1935 | |
Licence |
Sous copyright de ses ayants-droits. | |
Écouter | <mp3>Routier_sol.mp3 |