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C'est une institution non confessionnelle mais religieuse<ref>Il y a des [[aumôniers]] catholiques et protestants, la messe du dimanche ou le culte seront longtemps obligatoires.</ref>, libre et destinée en fait aux milieux aisés. D'esprit "républicain", proche du christianisme social et d'esprit anglophile, les Roches s'intéressent très vite aux expériences de [[Baden-Powell]].
C'est une institution non confessionnelle mais religieuse<ref>Il y a des [[aumônier]]s catholiques et protestants, la messe du dimanche ou le culte seront longtemps obligatoires.</ref>, libre et destinée en fait aux milieux aisés. D'esprit "républicain", proche du christianisme social et d'esprit anglophile, les Roches s'intéressent très vite aux expériences de [[Baden-Powell]].


Dès [[1911]], le directeur de l'école [[Georges Bertier]], secondé par [[Henri Marty]], fonde une troupe d'éclaireurs au sein de l'établissement et lui-même jouera très vite un rôle moteur chez les [[Éclaireurs de France]] première manière tandis qu'[[Henri Bonnamaux]] qui y fut professeur est l'un des fondateurs des [[Éclaireurs unionistes de France]], de même [[Gustave Monod]] qui sera [[EDF]]. Les éclés "rocheux" sont parfois considérés comme l'unité-laboratoire du scoutisme EDF : en [[1919]] le directeur adjoint de l’École est [[Henri Marty]], commissaire à l'international des EDF tandis qu'[[Emile Guillen]] sera secrétaire général de l'École des Roches de [[1924]] à [[1927]]. A cette époque sur 300 élèves 90 sont éclés !
Dès [[1911]], le directeur de l'école [[Georges Bertier]], secondé par [[Henri Marty]], fonde une troupe d'éclaireurs au sein de l'établissement et lui-même jouera très vite un rôle moteur chez les [[Éclaireurs de France]] première manière tandis qu'[[Henri Bonnamaux]] qui y fut professeur est l'un des fondateurs des [[Éclaireurs unionistes de France]], de même [[Gustave Monod]] qui sera [[EDF]]. Les éclés "rocheux" sont parfois considérés comme l'unité-laboratoire du scoutisme EDF : en [[1919]] le directeur adjoint de l’École est [[Henri Marty]], commissaire à l'international des EDF tandis qu'[[Emile Guillen]] sera secrétaire général de l'École des Roches de [[1924]] à [[1927]]. A cette époque sur 300 élèves 90 sont éclés !