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« Randscouts » : différence entre les versions

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Lorsqu'ils deviennent un peu plus âgés, vers 16 ou 18 ans, ils peuvent passer d'autres épreuves témoignant de leur volonté de prendre des responsabilités dans leur patrouille, leur troupe et leur mouvement : c'est l'«''épreuve du couteau''», nommée ainsi car son passage permet le port à la ceinture d'un couteau, nommé «''camilus''», qui symbolise la responsabilité prise et la volonté de son porteur de s'émanciper. Les garçons sont alors appelés «''hoplites''», et peuvent être seconds de patrouille, ou chefs de patrouille. Ils secondent alors le chef de troupe, qui porte le nom d'«''embolarque''».
Lorsqu'ils deviennent un peu plus âgés, vers 16 ou 18 ans, ils peuvent passer d'autres épreuves témoignant de leur volonté de prendre des responsabilités dans leur patrouille, leur troupe et leur mouvement : c'est l'«''épreuve du couteau''», nommée ainsi car son passage permet le port à la ceinture d'un couteau, nommé «''camilus''», qui symbolise la responsabilité prise et la volonté de son porteur de s'émanciper. Les garçons sont alors appelés «''hoplites''», et peuvent être seconds de patrouille, ou chefs de patrouille. Ils secondent alors le chef de troupe, qui porte le nom d'«''embolarque''».


Un dernier stade de progression existe encore pour ceux qui désirent accéder à de plus hautes responsabilités au sein du mouvement, notamment celles d’''embolarque'', de chef de district ou de région. Ce passage est constitué d'épreuves physiques, pour témoigner de la maturité du corps, comme une longue marche, et de connaissances témoignant de la maturité mentale du candidat, comme des connaissances historiques et géographiques sur l'Europe. Il est nommé «''épreuve du calot''» pour les cheftaines, qui sont alors nommées «''épiclères''» et portent un calot bleu, et «''épreuve du béret''» pour les chefs, qui sont alors nommés «''hastaires''» et portent un béret vert, en référence aux parachutistes de la Légion Étrangère.
Un dernier stade de progression existe encore pour ceux qui désirent accéder à de plus hautes responsabilités au sein du mouvement, notamment celles d’''embolarque'', de chef de district ou de région. Ce passage est constitué d'épreuves physiques, pour témoigner de la maturité du corps, comme une longue marche, et de connaissances témoignant de la maturité mentale du candidat, comme des connaissances historiques et géographiques sur l'Europe. Il est nommé «''épreuve du calot''» pour les cheftaines, qui sont alors nommées «''épiclères''» et portent un calot bleu, et «''épreuve du béret''» pour les chefs, qui sont alors nommés «''hastaires''» et portent un béret vert. L'origine de ce choix remonte à la création du Raiderisme par Michel MENU. Les troupes qui accédaient au niveau de troupes raider se voyaient autorisées au port du béret vert. Chez les Randscouts, les jeunes qui atteignent le stade de progression d'hastaire change ainsi de béret, signe du pas en avant accompli et marque de la qualité du scoutisme qu'ils pratiquent.


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