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« Pierre Delsuc » : différence entre les versions

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Mobilisé en [[1939]], puis démobilisé en [[1940]], il prend la tête du scoutisme clandestin avec [[François Bloch-Lainé]] et [[Michel de Paillerets]], interdit en zone occupée mais qu'il s'efforce de faire vivre. Il entre dans la Résistance et est arrêté plusieurs fois par la Gestapo. Envoyé en prison, il est relâché faute de preuves.  
Mobilisé en [[1939]], puis démobilisé en [[1940]], il prend la tête du scoutisme clandestin avec [[François Bloch-Lainé]] et [[Michel de Paillerets]], interdit en zone occupée mais qu'il s'efforce de faire vivre. Il entre dans la Résistance et est arrêté plusieurs fois par la Gestapo. Envoyé en prison, il est relâché faute de preuves.  


A la Libération il devient commissaire général des [[Scouts de France]] jusqu'en [[1946]], occupant ainsi officiellement le poste qu'il occupait officieusement en Zone Nord depuis sa démobilisation. Il occupera ensuite des fonctions au [[Fédération du scoutisme français|Scoutisme Français]], notamment [[Commissaire]] International pendant le [[jamboree de 1947|Jamboree de Moisson]]<ref>Article ''La grande chaîne'', Jamboree-France n°5, [[10 août]] [[1947]]</ref>, et à l'[[organisation mondiale du mouvement scout]] (OMMS). Il est décoré du [[Loup de bronze]] en [[1951]]<ref>Numéro 267 de décembre 1951 de la revue [[Scout (revue)|Scout]]</ref>, il est la sixième personne et le premier français à recevoir cette décoration.
A la Libération il devient commissaire général des [[Scouts de France]] jusqu'en [[1946]], occupant ainsi officiellement le poste qu'il occupait officieusement en Zone Nord depuis sa démobilisation. Il occupera ensuite des fonctions au [[Fédération du scoutisme français|Scoutisme Français]], notamment [[Commissaire]] International pendant le [[jamboree de 1947|Jamboree de Moisson]]<ref>Article ''La grande chaîne'', {{Ouvrage|titre=Jamboree-France|numéro=5|date=[[10 août|10]]|mois=août|année=[[1947]]}}</ref>, et à l'[[organisation mondiale du mouvement scout]] (OMMS). Il est décoré du [[Loup de bronze]] en [[1951]]<ref>{{Ouvrage|numéro=267|mois=décembre|année=1951|titre=[[Scout (revue)|Scout]]}}</ref>, il est la sixième personne et le premier français à recevoir cette décoration.


En désaccord avec [[Michel Rigal]], le commissaire général, il démissionne du Conseil national des [[Scouts de France|SDF]] en [[1958]]. Leur opposition devient publique en juin [[1960]] quand il dénonce dans une lettre que publie ''France catholique'', hebdomadaire catholique modéré, la prise de position de [[Michel Rigal]] à propos de la guerre d'Algérie.
En désaccord avec [[Michel Rigal]], le commissaire général, il démissionne du Conseil national des [[Scouts de France|SDF]] en [[1958]]. Leur opposition devient publique en juin [[1960]] quand il dénonce dans une lettre que publie ''France catholique'', hebdomadaire catholique modéré, la prise de position de [[Michel Rigal]] à propos de la guerre d'Algérie.
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