« Anita Lopez-Ross » : différence entre les versions

	Fédération française des éclaireuses.
	Éclaireurs de France.
	France.

VisuelWikicode

Version du 25 février 2018 à 23:14

Anita Lopez ou Anita Lopez-Ross (1911-2002) fut une personnalité de La Fédération française des éclaireuses puis des Éclaireurs de France.

Issue d'une riche famille sud-américaine propriétaire de mines installée en France, elle encadre avant la guerre une section de la FFE à Paris. En décembre 1940, elle écrit dans la revue Esprit d'Emmanuel Mounier un article à la fois lucide et acide sur le "chef scout", thème en vogue dans la France de Vichy. Cela lui vaut quelques coupures dans son texte par la censure.

À la Libération, elle aide les Éclaireurs de France et leur ouvre son château des Vives-Eaux à Dammarie-les-Lys. Elle est un moment commissaire en Ile-de-France et siège au comité directeur.

Anita Lopez est une amie de Lady Olave Baden-Powell et a une conception personnelle du scoutisme. Dans les années 1960, Jean Estève met fin à ses fonctions.

Bibliographie

Cinquante ans de scoutisme, éditions EDF, 1958

Les personnalités scoutes

@@ Ligne 1 : / Ligne 1 : @@
-{{ébauche|personnalité|images}}
 {{Infobox personnalité
 |naissance = [[1911]]
 |décès = [[2002]]
-|image =
+|image = Anita Lopez-Ross.jpg
 |largeur =
-|légende =
+|légende = Anita Lopez-Ross, portrait par Alexandre Jacovleff en 1934
 |description =
 |type =
@@ Ligne 17 : / Ligne 16 : @@
 '''Anita Lopez''' ou Anita Lopez-Ross ([[1911]]-[[2002]]) fut une personnalité de La [[Fédération française des éclaireuses]] puis des [[Éclaireurs de France]].
-Issue d'une riche famille sud-américaine propriétaire de mines installée en France, elle encadre avant la guerre une section de la [[FFE]] à Paris. En décembre [[1940]], elle écrit dans la revue ''Esprit'' d'[[Emmanuel Mounier]] un article à la fois lucide et acide sur le "chef scout", thème en vogue dans la France de Vichy.Cela lui vaut quelques coupures dans son texte par la censure.
+Issue d'une riche famille sud-américaine propriétaire de mines installée en France, elle encadre avant la guerre une section de la [[FFE]] à Paris. En décembre [[1940]], elle écrit dans la revue ''Esprit'' d'[[Emmanuel Mounier]] un article à la fois lucide et acide sur le "chef scout", thème en vogue dans la France de Vichy. Cela lui vaut quelques coupures dans son texte par la censure.
 À la Libération, elle aide les [[Éclaireurs de France]] et leur ouvre son château des Vives-Eaux à Dammarie-les-Lys. Elle est un moment [[commissaire]] en Ile-de-France et siège au comité directeur.