« Renée Sainte-Claire Deville » : différence entre les versions
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Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française. | Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française. | ||
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris | Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris. | ||
Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale. | Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale. | ||
Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle | Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d'[[André Lefevre]], des [[Eclaireurs de France]] et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe). | ||
En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Eclaireuses]] (FFE) | En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Eclaireuses]] (FFE) | ||
En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la FFE | En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la [[FFE]] qu'elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget. Son [[totem]] est ''Coq noir''. | ||
Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe » | Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe » | ||
En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge | En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en [[1945]]. | ||
En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des Eclaireurs de France (EDF) | En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des [[Eclaireurs de France]] (EDF) | ||
Elle est morte à Paris le [[7 juillet]] [[1968]]. | Elle est morte à Paris le [[7 juillet]] [[1968]]. | ||
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[[Catégorie:Fondateur]] | [[Catégorie:Fondateur]] |