Modification de René Duphil
La modification peut être annulée. Veuillez vérifier les différences ci-dessous pour voir si c’est bien ce que vous voulez faire, puis publier ces changements pour finaliser l’annulation de cette modification.
Version actuelle | Votre texte | ||
Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
Il rejoint ensuite [[André Lefevre]] – ''Vieux Castor'' – à l’échelon national et gère le [[Magasin de l'Eclaireur]] à Lyon. | Il rejoint ensuite [[André Lefevre]] – ''Vieux Castor'' – à l’échelon national et gère le [[Magasin de l'Eclaireur]] à Lyon. | ||
[[Image:René Duphil2.jpg|left|300 px|thumb|Claire Mollet, René Tulpin, Eugène Arnaud, Abeille Léonardi, Mion Valloton, Bagué Bouteille, Pierre François, Castoret (René Duphil) et Castorette (son épouse Henriette)]] | [[Image:René Duphil2.jpg|left|300 px|thumb|Claire Mollet, René Tulpin, Eugène Arnaud, Abeille Léonardi, Mion Valloton, Bagué Bouteille, Pierre François, Castoret (René Duphil) et Castorette (son épouse Henriette)]] | ||
En 1940, aux côtés du général [[Joseph Lafont|Lafont]], il participe à la création de la [[Fédération du Scoutisme Français]] avec entre autres, [[Pierre François]], [[René Tulpin]], les frères [[Pierre Sainderichin|Sainderichin]], "[[Fernand Bouteille|Baghé" Bouteille]], Georgy Wetter, Abeille Leonardi, Mion Valoton, [[Eugène Arnaud]]. Ils forment, avec leurs familles, une très amicale communauté qui fait ainsi face aux difficultés et aux horreurs de l’époque. Ils abritent des juifs pourchassés. Élisabeth et Pierre François, ainsi que Henriette et René Duphil, accueillent, dans leur logement du Pavillon Sévigné, des éclaireuses juives qui y vivent sous un faux nom. Ils louvoient ainsi avec le pouvoir de l'État Français, qui aimerait bien créer un mouvement de jeunesse unique<ref> | En 1940, aux côtés du général [[Joseph Lafont|Lafont]], il participe à la création de la [[Fédération du Scoutisme Français]] avec entre autres, [[Pierre François]], [[René Tulpin]], les frères [[Pierre Sainderichin|Sainderichin]], "[[Fernand Bouteille|Baghé" Bouteille]], Georgy Wetter, Abeille Leonardi, Mion Valoton, [[Eugène Arnaud]]. Ils forment, avec leurs familles, une très amicale communauté qui fait ainsi face aux difficultés et aux horreurs de l’époque. Ils abritent des juifs pourchassés. Élisabeth et Pierre François, ainsi que Henriette et René Duphil, accueillent, dans leur logement du Pavillon Sévigné, des éclaireuses juives qui y vivent sous un faux nom. Ils louvoient ainsi avec le pouvoir de l'État Français, qui aimerait bien créer un mouvement de jeunesse unique<ref>[http://www.ajpn.org/juste-Rene-Duphil-3230.html Henriette et René Duphil sur le site de l'AJPN][http://www.ajpn.org/juste-Henriette-Duphil-3229.html]</ref>. | ||
Au Pavillon Sévigné, l'équipe nationale des EDF se livre à pendant cette période à une intense fabrication de fausses cartes de ravitaillement et d’identité et encouragent les jeunes qui rejoignent les maquis et la Résistance. | Au Pavillon Sévigné, l'équipe nationale des EDF se livre à pendant cette période à une intense fabrication de fausses cartes de ravitaillement et d’identité et encouragent les jeunes qui rejoignent les maquis et la Résistance. |