« Jamboree de 1955 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 24 : Ligne 24 :
Première intervention de la télévision au Jamboree. Durant le Jamboree, toute la cuisine sera faite sur charbon de bois. Le temps n'est pas de la partie puisque le Jamboree reçoit la visite de l'ouragan Connie.
Première intervention de la télévision au Jamboree. Durant le Jamboree, toute la cuisine sera faite sur charbon de bois. Le temps n'est pas de la partie puisque le Jamboree reçoit la visite de l'ouragan Connie.


== Les français ==
== Le contingent français ==


Voici le témoignage de Georges Adda, chef d'une troupe [[Eclaireurs de France]] d'extension:{{citation| le Jamboree du Canada, à Niagara-on-the-Lake, à 10 km des fameuses chutes. La France envoyait une délégation de 1200 éclaireurs, dont trois troupes de scoutisme d’extension. La troupe des sourds était composée d’une patrouille de Scouts de France et d’une patrouille d’Éclaireurs de France avec un responsable de chaque association. J’ai eu la tâche délicate de choisir 8 éclaireurs de notre troupe, ce qui a laissé bien des frustrations parmi les exclus. Voyage en avions modernes, des quadrimoteurs à hélices, qui ne mettaient que onze heures, avec une escale pour arriver à Montréal. Trois parties dans ce séjour de cinq ou six semaines : d’abord un camp à Lachine, banlieue de Montréal, d’où les éclaireurs partaient pour un accueil dans des familles québécoises ; puis un camp de regroupement de toute la délégation française à Trois-Rivières et enfin le Jamboree proprement dit, avec, entre autres, une journée aux Chutes et une autre à Toronto.}}
Voici le témoignage de Georges Adda, chef d'une troupe [[Eclaireurs de France]] d'extension:{{citation| le Jamboree du Canada, à Niagara-on-the-Lake, à 10 km des fameuses chutes. La France envoyait une délégation de 1200 éclaireurs, dont trois troupes de scoutisme d’extension. La troupe des sourds était composée d’une patrouille de Scouts de France et d’une patrouille d’Éclaireurs de France avec un responsable de chaque association. J’ai eu la tâche délicate de choisir 8 éclaireurs de notre troupe, ce qui a laissé bien des frustrations parmi les exclus. Voyage en avions modernes, des quadrimoteurs à hélices, qui ne mettaient que onze heures, avec une escale pour arriver à Montréal. Trois parties dans ce séjour de cinq ou six semaines : d’abord un camp à Lachine, banlieue de Montréal, d’où les éclaireurs partaient pour un accueil dans des familles québécoises ; puis un camp de regroupement de toute la délégation française à Trois-Rivières et enfin le Jamboree proprement dit, avec, entre autres, une journée aux Chutes et une autre à Toronto.}}