Modification de Édouard de Macédo
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D’origine franco-brésilienne, engagé au sein de la « Réunion d’Eylau », un groupe de jeunes de la paroisse Saint-Honoré d'Eylau à Paris, '''Edouard de Macédo''' prend rapidement la tête des [[Entraineurs Catholiques de France]] (qui deviendront par la suite la troupe 1ère Paris du groupe Saint-Louis). | |||
D’origine franco-brésilienne, engagé au sein de la « Réunion d’Eylau », un groupe de jeunes de la paroisse Saint-Honoré d'Eylau à Paris, '''Edouard de Macédo''' prend rapidement la tête des [[Entraineurs Catholiques de France]] (qui deviendront par la suite la troupe | |||
Il participe à la fondation des [[Scouts de France]] et, dès [[1920]], il en est nommé secrétaire général et commissaire de Paris. Sa capacité d’organisation, sa discrétion et sa pensée claire le rendent rapidement indispensable. | Il participe à la fondation des [[Scouts de France]] et, dès [[1920]], il en est nommé secrétaire général et commissaire de Paris. Sa capacité d’organisation, sa discrétion et sa pensée claire le rendent rapidement indispensable. | ||
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Il dirige lui-même la 2e Paris (Saint Louis) en [[1927]]-[[1928]]. | Il dirige lui-même la 2e Paris (Saint Louis) en [[1927]]-[[1928]]. | ||
En [[1928]], il prend en mains personnellement la Route d’Île-de-France (après [[Pierre Ramondot]]) et, pour quelques mois, le district de Paris sud (entre | En [[1928]], il prend en mains personnellement la Route d’Île-de-France (après [[Pierre Ramondot]]) et, pour quelques mois, le district de Paris sud (entre Bourdieu et Louis Rupp), façon d’agir qui est typique de lui. De même en 1931 il est à Ajaccio ou il lance le scoutisme catholique en Corse. | ||
En décembre [[1931]]-juin [[1932]], il réalise une réorganisation générale du mouvement [[Scouts de France]], rendue nécessaire par sa croissance très rapide (en [[1929]], une troupe ou une meute est affiliée chaque jour) : création des branches, suppression des commissaires spéciaux, centralisation claire du mouvement. | En décembre [[1931]]-juin [[1932]], il réalise une réorganisation générale du mouvement [[Scouts de France]], rendue nécessaire par sa croissance très rapide (en [[1929]], une troupe ou une meute est affiliée chaque jour) : création des branches, suppression des commissaires spéciaux, centralisation claire du mouvement. | ||
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Nommé Commissaire National des Scouts-Routiers le 27 avril [[1932]] jusqu'en novembre [[1934]] remplacé à ce poste par [[Pierre Goutet]]. | Nommé Commissaire National des Scouts-Routiers le 27 avril [[1932]] jusqu'en novembre [[1934]] remplacé à ce poste par [[Pierre Goutet]]. | ||
En [[1933]], suite au départ de [[Jacques Sevin|Sevin]], il devient rédacteur en chef de la revue [[Le Chef (revue SDF)|Le Chef]] et, en décembre de la même année, il reprend personnellement le groupe Saint Louis ( | En [[1933]], suite au départ de [[Jacques Sevin|Sevin]], il devient rédacteur en chef de la revue [[Le Chef (revue SDF)|Le Chef]] et, en décembre de la même année, il reprend personnellement le groupe Saint Louis (1re, 2e, 6e, 10e Paris) et recrée le clan, qui avait suivi la 5e Paris lorsque celle-ci est devenue indépendante du groupe. | ||
Il cesse officiellement ses fonctions de Commissaire de Province d'Ile de France en [[1935]], remplacé par [[Charles Champetier de Ribes-Christofle|Champetier de Ribes]]. | Il cesse officiellement ses fonctions de Commissaire de Province d'Ile de France en [[1935]], remplacé par [[Charles Champetier de Ribes-Christofle|Champetier de Ribes]]. | ||
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En [[1935]], il doit regagner Petropolis, au Brésil, pour sauver les affaires familiales. Son successeur comme adjoint du chef scout est [[Bernard de Kergorlay]], et c’est [[Pierre Goutet]] à la Route. | En [[1935]], il doit regagner Petropolis, au Brésil, pour sauver les affaires familiales. Son successeur comme adjoint du chef scout est [[Bernard de Kergorlay]], et c’est [[Pierre Goutet]] à la Route. | ||
Il | Il devient président de l’association catholique brésilienne de scoutisme (Escoteiros Católicos do Brazil) grâce au Cardinal Sebastiaõ Leme da Silveira de Rio de Janeiro. | ||
Il ne rentre en France qu’une fois, semble-t-il : en avril-mai [[1954]]. Il parait à [[Jambville]] et effectue une tournée en province. Un rare cliché de lui à cette époque se trouve dans le ''[[Louveteau]]'' n°8 de [[1954]] ; son retour fut en effet entouré d’une certaine publicité (annoncé dans [[Le Chef (revue SDF)|Le Chef]] n°303 p.23). | |||
Il ne rentre en France qu’une fois, semble-t-il : en avril-mai [[1954]]. Il parait à [[Jambville]] et effectue une tournée en province. Un rare cliché de lui à cette époque se trouve dans le | |||
Il meurt au Brésil en [[1965]]. | Il meurt au Brésil en [[1965]]. | ||
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Totem : ''Hibou pacifique''. | Totem : ''Hibou pacifique''. | ||
=== Voir aussi === | === Voir aussi === |