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« Éclaireurs français » : différence entre les versions

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Le 27 octobre [[1911]], [[Pierre de Coubertin]] fonde le mouvement des [[[['''Éclaireurs Français''']]]] dont l'emblème est le '''Gaulois casqué''' et la devise [['''Sans Peur''']] et dépose ses statuts en mars 1912. Il s'agit de la section cadette de sa Ligue d'Éducation nationale qui fut précédée par la Société des sports populaires.
Le 27 octobre [[1911]], [[Pierre de Coubertin]] fonde le mouvement des '''Éclaireurs Français''' dont l'emblème est le '''Gaulois casqué''' et la devise '''[[Sans Peur]]''' et dépose ses statuts en mars 1912. Il s'agit de la section cadette de sa Ligue d'Éducation nationale qui fut précédée par la Société des sports populaires.


Une question peut donc se poser : Pourquoi avoir fondé les '''Éclaireurs français''' alors que [[Nicolas Benoit]] et [[Georges Bertier]] viennent la même année de créer les [[Éclaireurs de France]] ?
Une question peut donc se poser : Pourquoi avoir fondé les '''Éclaireurs français''' alors que [[Nicolas Benoit]] et [[Georges Bertier]] viennent la même année de créer les [[Éclaireurs de France]] ?
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Sur cette différence d'opinions, se créent donc deux mouvements de scoutisme. Les [['''Éclaireurs Français''']], créés quelques mois après les [[Éclaireurs de France]], n'ont jamais eu l'impact espéré par [[Pierre de Coubertin]]. Ils eurent avant-guerre plusieurs unités en Algérie, en Guadeloupe et en [[1964]] semblent avoir existé à Vincennes, Villeurbanne, Limoges, en Provence et en Allier.
Sur cette différence d'opinions, se créent donc deux mouvements de scoutisme. Les [['''Éclaireurs Français''']], créés quelques mois après les [[Éclaireurs de France]], n'ont jamais eu l'impact espéré par [[Pierre de Coubertin]]. Ils eurent avant-guerre plusieurs unités en Algérie, en Guadeloupe et en [[1964]] semblent avoir existé à Vincennes, Villeurbanne, Limoges, en Provence et en Allier.


Comble de l'histoire, suite à l'assemblée générale du 20 septembre [[1964]], les [['''Éclaireurs Français''']] fusionnent avec les '''[[Éclaireurs de France]]''' et la [[Fédération française des éclaireuses]] (FFE) pour créer les [[Éclaireuses et éclaireurs de France]] (EEdF). Il faut savoir que le Fédération des Éclaireurs Français était constituée de plusieurs associations locales. Ainsi les associations [[Limousin-Marche]] de G. Frugier, [[l'Association provençale des Éclaireurs français]] d'A. Faubert, [[l'Union du Vieux Donjon]] de R. Quenaud, [[l'Union Paris-Est des Éclaireurs Français]] de R. Delecampe et [[l'Association Parisienne des Éclaireurs français]] de Mme A. Lebrun refusérent la fusion et s'affiliérent aux [[ENF]].
Comble de l'histoire, suite à l'assemblée générale du 20 septembre [[1964]], les [['''Éclaireurs Français''']] fusionnent avec les Éclaireurs de France et la [[Fédération française des éclaireuses]] (FFE) pour créer les [[Éclaireuses et éclaireurs de France]] (EEdF). Il faut savoir que le Fédération des Éclaireurs Français était constituée de plusieurs associations locales. Ainsi les associations [[Limousin-Marche]] de G. Frugier, [[l'Association provençale des Éclaireurs français]] d'A. Faubert, [[l'Union du Vieux Donjon]] de R. Quenaud, [[l'Union Paris-Est des Éclaireurs Français]] de R. Delecampe et [[l'Association Parisienne des Éclaireurs français]] de Mme A. Lebrun refusérent la fusion et s'affiliérent aux [[ENF]].


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