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« Michel Rigal » : différence entre les versions

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En [[1952]], il devient pour 18 ans commissaire général des [[Scouts de France]]. Sous sa direction, le mouvement s'engage dans les orientations "d'ouverture au monde" lancées par la Route et auxquelles s'opposaient [[Georges Gauthier]] (précédent commissaire général), puis le père [[Marcel Forestier|Forestier]] (aumônier général depuis [[1936]]) et [[Michel Menu]] (CNE depuis [[1946]]/[[1947|47]] et auteur de la proposition "[[Raiders]]" depuis [[1948]]).
En [[1952]], il devient pour 18 ans commissaire général des [[Scouts de France]]. Sous sa direction, le mouvement s'engage dans les orientations "d'ouverture au monde" lancées par la Route et auxquelles s'opposaient [[Georges Gauthier]] (précédent commissaire général), puis le père [[Marcel Forestier|Forestier]] (aumônier général depuis [[1936]]) et [[Michel Menu]] (CNE depuis [[1946]]/[[1947|47]] et auteur de la proposition "[[Raiders]]" depuis [[1948]]).


Dans un premier temps, on voit avancer ces orientations avec le père Pierre-André Liégé, devenu aumônier national de la branche Route en novembre [[1951]], et Paul Rendu, commissaire national Route en [[1954]]. Le père [[Marcel Forestier|Forestier]] part brusquement en [[1955]] et [[Michel Menu]] démissionne fin [[1956]].
Dans un premier temps, on voit avancer ces orientations avec le père Pierre-André Liégé, devenu aumônier national de la branche Route en novembre [[1951]], et [[Paul Rendu]], commissaire national Route en [[1954]]. Le père [[Marcel Forestier|Forestier]] part brusquement en [[1955]] et [[Michel Menu]] démissionne fin [[1956]].


Mais l’affaire [[Jean Muller]] éclate en février [[1957]], qui va exacerber les dissentions au sein de l'association. En effet, la guerre d’Algérie (1954-1962) divise la société française et n'épargne pas les [[Scouts de France]]. Soucieux de l’unité du mouvement, Michel Rigal s'oppose finalement à l'équipe nationale Route, qui démissionne en bloc le [[9 mai]] [[1957]] ([[crise de la Route]]). Cependant, en [[1960]], la position de Michel Rigal sur la guerre d'Algérie sera encore contestée publiquement par [[Pierre Delsuc]], ancien commissaire général (jusqu'en [[1946]]) qui a démissionné du conseil national des [[Scouts de France|SDF]] en [[1958]].
Mais l’affaire [[Jean Muller]] éclate en février [[1957]], qui va exacerber les dissentions au sein de l'association. En effet, la guerre d’Algérie (1954-1962) divise la société française et n'épargne pas les [[Scouts de France]]. Soucieux de l’unité du mouvement, Michel Rigal s'oppose finalement à l'équipe nationale Route, qui démissionne en bloc le [[9 mai]] [[1957]] ([[crise de la Route]]). Cependant, en [[1960]], la position de Michel Rigal sur la guerre d'Algérie sera encore contestée publiquement par [[Pierre Delsuc]], ancien commissaire général (jusqu'en [[1946]]) qui a démissionné du conseil national des [[Scouts de France|SDF]] en [[1958]].
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