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« Michel Rigal » : différence entre les versions

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La guerre d’Algérie ([[1954]]-[[1962]]) est un moment difficile où il s’efforce de préserver l’unité d’un mouvement tiraillé en sens contraire notamment en [[1957]] lors de l’affaire [[Jean Muller]]. Ses prises de position sur la guerre seront très controversées ; il s'opposera notamment publiquement à [[Pierre Delsuc]] à ce sujet en [[1960]].
La guerre d’Algérie ([[1954]]-[[1962]]) est un moment difficile où il s’efforce de préserver l’unité d’un mouvement tiraillé en sens contraire notamment en [[1957]] lors de l’affaire [[Jean Muller]]. Ses prises de position sur la guerre seront très controversées ; il s'opposera notamment publiquement à [[Pierre Delsuc]] à ce sujet en [[1960]].


L’évolution initiée par Michel Rigal dans le mouvement se traduit notamment en [[1964]] par la division de la branche Eclaireurs (12-17 ans) en [[Ranger|Rangers]] (12-14 ans) et [[Pionnier|Pionniers]] (14-17 ans). L’idée est d’adapter le scoutisme aux évolutions du monde contemporain. Il avouera en [[1966]] que la réforme n’était pas prête quand elle fut imposée.
L’évolution initiée par Michel Rigal dans le mouvement se traduit notamment en [[1964]] par la division de la branche Eclaireurs (12-17 ans) en [[Ranger|Rangers]] (12-14 ans) et [[Scouts de France : Pionnier|Pionniers]] (14-17 ans). L’idée est d’adapter le scoutisme aux évolutions du monde contemporain. Il avouera en [[1966]] que la réforme n’était pas prête quand elle fut imposée.


Dans le cadre ses fonctions chez les [[Scouts de France]], Michel Rigal devient secrétaire général de la la [[Conférence internationale catholique du scoutisme]] de [[1962]] à [[1970]]. Président du [[Scoutisme Français]], du Conseil français des mouvements de jeunesse, il contribue également à la fondation du Conseil national des associations de jeunesse et d’éducation populaire dont il devient le premier président de [[1968]] à [[1970]].
Dans le cadre ses fonctions chez les [[Scouts de France]], Michel Rigal devient secrétaire général de la la [[Conférence internationale catholique du scoutisme]] de [[1962]] à [[1970]]. Président du [[Scoutisme Français]], du Conseil français des mouvements de jeunesse, il contribue également à la fondation du Conseil national des associations de jeunesse et d’éducation populaire dont il devient le premier président de [[1968]] à [[1970]].
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