Aller au contenu

« Claude Marchal » : différence entre les versions

439 octets ajoutés ,  il y a 11 ans
m
aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
mAucun résumé des modifications
Ligne 25 : Ligne 25 :




Grâce à lui, de nombreux autres musées scouts dans le monde ont pu voir le jour car il fut le mentor, notamment de [[Philippe Maldague]], Fondateur du [[Musée du Scoutisme International]] à Arlon (Belgique). C’est sans conteste, auprès de Claude Marchal, que Philippe Maldague a appris toutes les ficelles du ''métier''. On connaît beaucoup moins son autre passion pour la musique  mécanique. Comme par magie, chez lui, violons et pianos jouaient seuls aux côtés des automates mécaniques.
Grâce à lui, de nombreux autres musées scouts dans le monde ont pu voir le jour et il aimait aider les autres. Il fut ainsi le mentor de [[Philippe Maldague]], fondateur du [[Musée du Scoutisme International]] à Arlon (Belgique) qui appris auprès de lui toutes les ficelles du ''métier''. Il avait mis en dépôt au Musée de Dourlers (aujourd'hui racheté par [[Scoutisme et collections]]) certaines de ses collections de revues et livres, comme les ''bulletin de liaison des aumôniers scouts''. Il a fait don aussi d'une grande vitrine sur mesure pour la bibliothèque de [[Riaumont]].
 
On connaît beaucoup moins son autre passion pour le saint suaire et pour la musique  mécanique. Comme par magie, chez lui, violons et pianos jouaient seuls aux côtés des automates mécaniques.


Durant 25 ans, cet homme érudit à travaillé pour l’industrie française Marchal, fabricante des fameuses bougies et des projecteurs à la tête de chats noirs aux yeux brillants dont la devise était : « ''Je ne prête mes yeux qu’à Marchal'' ». Il s’occupait du service exportation puis des relations publiques. Pendant de nombreuses années, il a fréquenté les circuits automobiles, de Monaco à Daytona en passant par Le Mans. Ses occupations l’ont amené à rencontrer le pilote '''Jim Clark''', l’aviateur '''Louis Blériot''' ou encore les vedettes de cinéma français de l’époque. Il est décédé fin janvier [[1997]], à l’âge de  70 ans, suite à des complications postopératoires. Il a donné entièrement de sa personne tout au long de sa vie, quelle que soit l’activité qu’il entreprenait.
Durant 25 ans, cet homme érudit à travaillé pour l’industrie française Marchal, fabricante des fameuses bougies et des projecteurs à la tête de chats noirs aux yeux brillants dont la devise était : « ''Je ne prête mes yeux qu’à Marchal'' ». Il s’occupait du service exportation puis des relations publiques. Pendant de nombreuses années, il a fréquenté les circuits automobiles, de Monaco à Daytona en passant par Le Mans. Ses occupations l’ont amené à rencontrer le pilote '''Jim Clark''', l’aviateur '''Louis Blériot''' ou encore les vedettes de cinéma français de l’époque. Il est décédé fin janvier [[1997]], à l’âge de  70 ans, suite à des complications postopératoires. Il a donné entièrement de sa personne tout au long de sa vie, quelle que soit l’activité qu’il entreprenait.
Incontestablement, il fut le pionnier d’une facette assez méconnue du scoutisme, c'est-à-dire la collection internationale de très haut niveau.
Incontestablement, il fut le pionnier d’une facette assez méconnue du scoutisme, c'est-à-dire la collection internationale de très haut niveau.
Un an après son décès, en [[1998]], ses fabuleuses collections scoutes ont quitté l’Europe pour les États-Unis, au Las Vegas Museum.
Un an après son décès, en [[1998]], ses fabuleuses collections scoutes ont quitté l’Europe pour les États-Unis, au Las Vegas Museum (fermé depuis). Mais une partie de ses archives et revues scoutes a été déposée par Solange Marchal à la bibliothèque municipale de Toulouse.




4 442

modifications

Les cookies nous aident à fournir nos services. En utilisant nos services, vous acceptez notre utilisation de cookies.