« Le trèfle » : différence entre les versions
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'''Le Trèfle''' était le journal des cadres de la [[Fédération française des éclaireuses]]. Il était le porte-parole de l’équipe nationale (commissaires générales et nationales) mais aussi celui des provinces (commissaires et cheftaines). Ses pages étaient à la disposition des diverses branches du mouvement par l’intermédiaire des spécialistes et des assistantes de branches, des différentes sections (unionistes, neutres, israélites) dont les responsables étaient invitées à s’y exprimer librement. C’est dire que toutes les familles spirituelles de la FFE pouvaient et devaient se faire entendre par la voix du Trèfle et contribuer par là même à enrichir le patrimoine commun. Il voulait apporter aux cheftaines inspiration, information et formation ; par contre il n’était pas un journal de propagande destiné au grand public. Il était instrument de travail, mais pas organe de diffusion » (novembre 1945)<ref name=LT/>. | |||
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* « Pages des P.A. » (petites ailes) donnant des nouvelles des camps et « Pages des E.A. » (éclaireuses aînées) sur l’esprit de compagnonnage. | |||
* Feuillets détachables (8/20 pages) puis intégrés dans la revue : « Pages E.U. » (éclaireuses unionistes) puis « Pages des cheftaines de P.A. » sur la presse enfantine, la psychologie de l’enfant, des idées de travaux manuels. À partir de 1944, s’ajoutent des « Pages des cheftaines éclaireuses neutres » et des « Pages des cheftaines éclaireuses aînées », concernant leur formation, les camps, les fêtes à organiser, etc. | |||
* Réflexions générales sur des sujets touchant aux problèmes de la société comme l’alcool, l’égalité entre l’homme et la femme. | |||
* Comptes rendus de l’assemblée générale annuelle, informations officielles de la fédération, vie du mouvement ; rapport moral et financier. | |||
* Revue de presse scoute ; carnet familial ; bibliographie. | |||
À partir de [[1953]], deux éditions existent : édition rouge (unioniste) et édition verte (neutre) contenant les mêmes rubriques qu’auparavant avec des pages communes sur le cinéma, une bibliothèque, des réflexions sur le travail des jeunes. | |||
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À partir de décembre 1955, sont incluses dans chaque numéro des fiches détachables destinées aux différentes sections scoutes : | |||
« L’Équipe » pour les aînées, « La Farandole » pour les petites ailes, « La Compagnie » pour les éclaireuses ou la « Section neutre », contenant des articles sur la vie scoute, adaptés aux différents groupes d’âge auxquels ils s’adressent. | |||
Il existe également une partie centrale contenant : | |||
* Textes de de personnalités célèbres de l'époque, la justice, la connaissance de soi, … | |||
* Informations sur la vie du mouvement, l’actualité mondiale, les sports, les livres, le cinéma. | |||
* Réflexions sur le scoutisme et les responsabilités de la cheftaine en tant qu’éducatrice. | |||
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Dernière version du 25 juin 2023 à 20:54
- Pour les articles homonymes, voir Trèfle (homonymie)
N°7 de juillet 1935 | |||
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Association | Fédération française des éclaireuses | ||
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Destiné à | Cheftaines |
Le Trèfle était la revue des cheftaines et cadres de la Fédération Française des Eclaireuses à partir de 1921. Elle succède à La Ficelle en 1926.
Son sous-titre était : Bulletin des chefs [et des Éclaireuses aînées] de la Fédération française des Éclaireuses puis Revue [des cheftaines] de la Fédération française des Éclaireuses[1].
Responsable(s)[modifier | modifier le wikicode]
Gérants successifs :
- Mlle Georgette Siegrist,
- L. Parazines,
- Madeleine Beley
Rédactrices en chef successives :
- Violette Mouchon,
- Antoinette Butte,
- à nouveau Violette Mouchon,
- Madeleine Beley,
- J. Mouchon,
- A. Alvarès[1].
Description[modifier | modifier le wikicode]
Le Trèfle était le journal des cadres de la Fédération française des éclaireuses. Il était le porte-parole de l’équipe nationale (commissaires générales et nationales) mais aussi celui des provinces (commissaires et cheftaines). Ses pages étaient à la disposition des diverses branches du mouvement par l’intermédiaire des spécialistes et des assistantes de branches, des différentes sections (unionistes, neutres, israélites) dont les responsables étaient invitées à s’y exprimer librement. C’est dire que toutes les familles spirituelles de la FFE pouvaient et devaient se faire entendre par la voix du Trèfle et contribuer par là même à enrichir le patrimoine commun. Il voulait apporter aux cheftaines inspiration, information et formation ; par contre il n’était pas un journal de propagande destiné au grand public. Il était instrument de travail, mais pas organe de diffusion » (novembre 1945)[1].
La revue comportait divers encarts (notamment Le Fagot) et fut utilisée également comme support éditorial pour des livres techniques ou pédagogiques (suppléments).
Contenu[modifier | modifier le wikicode]
Le contenu était le suivant[1] :
- Considérations sur l'idéal scout et le développement du scoutisme
- Textes de personnalités célèbres de l'époque.
- « Pages des P.A. » (petites ailes) donnant des nouvelles des camps et « Pages des E.A. » (éclaireuses aînées) sur l’esprit de compagnonnage.
- Feuillets détachables (8/20 pages) puis intégrés dans la revue : « Pages E.U. » (éclaireuses unionistes) puis « Pages des cheftaines de P.A. » sur la presse enfantine, la psychologie de l’enfant, des idées de travaux manuels. À partir de 1944, s’ajoutent des « Pages des cheftaines éclaireuses neutres » et des « Pages des cheftaines éclaireuses aînées », concernant leur formation, les camps, les fêtes à organiser, etc.
- Réflexions générales sur des sujets touchant aux problèmes de la société comme l’alcool, l’égalité entre l’homme et la femme.
- Comptes rendus de l’assemblée générale annuelle, informations officielles de la fédération, vie du mouvement ; rapport moral et financier.
- Revue de presse scoute ; carnet familial ; bibliographie.
À partir de 1953, deux éditions existent : édition rouge (unioniste) et édition verte (neutre) contenant les mêmes rubriques qu’auparavant avec des pages communes sur le cinéma, une bibliothèque, des réflexions sur le travail des jeunes.
À partir de 1955, on ne trouve à la Bibliothèque nationale qu’une seule édition, l’édition verte. L’édition israélite n’a jamais existé (contrairement à ce qui était indiqué dans l’objectif).
À partir de décembre 1955, sont incluses dans chaque numéro des fiches détachables destinées aux différentes sections scoutes : « L’Équipe » pour les aînées, « La Farandole » pour les petites ailes, « La Compagnie » pour les éclaireuses ou la « Section neutre », contenant des articles sur la vie scoute, adaptés aux différents groupes d’âge auxquels ils s’adressent.
Il existe également une partie centrale contenant :
- Textes de de personnalités célèbres de l'époque, la justice, la connaissance de soi, …
- Informations sur la vie du mouvement, l’actualité mondiale, les sports, les livres, le cinéma.
- Réflexions sur le scoutisme et les responsabilités de la cheftaine en tant qu’éducatrice.
- Présentation d’un métier.
Références[modifier | modifier le wikicode]
Notes et références