Groupe SGDF Paris Saint Jean de Montmartre (Paris 18e)
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En France, ce groupe fait partie d'un des dix mouvements pratiquant officiellement l'accueil de scoutisme. |
Fondation : | 2018 (réouverture) |
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Fondateurs : | |
Fermeture : | {{{fermeture}}} |
Chef(s) actuel(s) : |
Adresse : | Paris 18e |
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Téléphone : | 06 31 42 15 97 |
E-mail : | |
sgdf.saintjean@gmail.com | |
Site web : | |
https://sites.sgdf.fr/saint-jean-de-montmartre-paris-18/ |
- Louveteaux - Jeannettes
- Compagnons
48° 53' 4.16" N, 22° 20' 16.41" E
Ce groupe est historiquement connu comme étant la 31e Paris groupe Saint-Jean de Montmartre. Ce groupe a fermé et ré-ouvert au court du temps.
Actuellement
Le groupe Saint-Jean de Montmartre des Scouts et guides de France ré-ouvre en 2018 et rassemble environ 30 scouts :
- Une unité Louveteaux - Jeannettes : la 1re Louveteaux-Jeannettes
- Une unité Compagnons (SGDF) : la 1re Compagnons
Il est rattaché à la paroisse Saint-Jean de Montmartre.
Historique du groupe
Avant la 2e Guerre
Le groupe 31e Paris Saint Jean de Montmartre existait avant la 2e Guerre mondiale. Il fait alors partie de la province Saint-Denis.
Pendant la 2e Guerre
Le 28 août 1940, les Allemands interdisent le scoutisme en zone occupée, la troupe passe alors dans la clandestinité et continue ses activités en cachette. Des weekends sont organisé en forêt de Nogent-le-Rotrou : pour tromper la surveillance Allemande, les scouts s'y rendaient séparément par différents moyens (train, vélo, etc.) et se regroupaient au cœur de la forêt, peu fréquentée par les Allemands.
Les chefs font partis d'un réseau de la résistance, mais il n'y ont pas entrainé les scouts qui ne l'apprendront qu'à la Libération[1].
Après Guerre
Le groupe se reconstitue en octobre 1944, la meute est remontée.
En 1951, la troupe se rend au Jamboree de 1951 à Bad Ischl, en Autriche.
En 1953 la patrouille du Lion participera à une Jamborette au Danemark. Ils s'y sont rendu avec une vielle Citroën Rosalie d'avant Guerre avec laquelle il feront sensation à leur arrivée, compte tenu de l'âge de la voiture et de la distance parcourue avec. Ils y étaient les seuls représentants français[2].
La troupe Raider
En 1949, lors de son Cham, leur chef de troupe Jean Benquet rencontre Michel Menu qui l'a convaincu sur la pédagogie raiders[3]. La Haute patrouille de la troupe devient la 46e raider[4].
Les chefs/cheftaines
Tableau en construction
Chefs de groupe | |
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1945-1952 | ? |
1952-1964 | Jean Benquet |
Tableau en construction
Chefs de troupe | |
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1944-1948 | Fernand Sauvanaud |
1948-1952 | Jean Benquet |
Tableau en construction
Les Akela | |
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19??-19?? | ? |
19??-19?? | ? |
Notes et références
- ↑ Témoignage de Jean Benquet : Jean Benquet avait rejoint la troupe début 1940, il en sera chef de troupe en 1948, puis chef de groupe et se maria en 1954 avec une des cheftaine de meute, Marie-Madeleine Magro. Il sera par la suite chef de groupes marin et mena un combat pour la sécurité des bateaux, pour lequel il est resté connu dans l'histoire du scoutisme marin des Scouts de France
- ↑ Archives de Jean Benquet
- ↑ Témoignage de Jean Benquet
- ↑ Liste des troupes raiders investies entre 1949 et 1965