« Marthe Levasseur » : différence entre les versions
(références Wikipédia, modif légende et correction) |
(→Bibliographie : ajout référence) |
||
Ligne 21 : | Ligne 21 : | ||
== Bibliographie == | == Bibliographie == | ||
* Notice biographique rédigée par Geneviève Poujol dans : {{Ouvrage|auteur=Geneviève Poujol et Madeleine Romer|titre=Dictionnaire biographique des militants, XIX{{e}}-XX{{e}} siècles. De l'éducation populaire à action culturelle|lieu=Paris|éditeur=L'Harmattan|année=[[1996]]|passage=244-245|isbn=2-7384-4433-4}} | * Notice biographique rédigée par Geneviève Poujol dans : {{Ouvrage|auteur=Geneviève Poujol et Madeleine Romer|titre=Dictionnaire biographique des militants, XIX{{e}}-XX{{e}} siècles. De l'éducation populaire à action culturelle|lieu=Paris|éditeur=L'Harmattan|année=[[1996]]|passage=244-245|isbn=2-7384-4433-4}} | ||
* {{Ouvrage|langue=fr|auteru=Jean-Claude Delbreil|titre=Marc Sangnier: témoignages|éditeur=Editions Beauchesne|année=1997|isbn=978-2-7010-1350-3|lire en ligne=https://books.google.fr/books/about/Marc_Sangnier.html?id=-Zbrtczc928C&printsec=frontcover&source=kp_read_button&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false|consulté le=2020-11-26}} | |||
== Références== | == Références== |
Version du 28 avril 2024 à 20:28
Discours de Pierre François pour la remise de la Légion d'honneur à Marthe Levasseur (à droite) au siège des EEDF
8 mars 1895 Paris · 14 octobre 1987
Éclaireurs de France. |
Fédération française des éclaireuses. |
France. |
Marthe Levasseur nait en 1895 à Paris, rue Larrey et meurt en 1987 à Saint-Mandé[1].
Engagée très jeune dans le christianisme social du Sillon, elle rencontre André Lefevre à La Maison pour Tous de la Rue Mouffetard à Paris vers 1910 et dès avant la première guerre, elle est au contact d'éclaireurs EUF et EDF et de Catherine Descroix, fondatrice des Eclaireurs internationaux.
A la suite d'André Lefevre, elle s'engage dans le scoutisme des Eclaireurs de France et de la Fédération Française des Eclaireuses dès 1921 et devient commissaire régional tout en conservant son rôle à la Mouff. Elle avait été "totémisée" Mère Louve (qui évoque le Livre de la Jungle) et elle organisera longtemps les camps de louveteaux à Balnot et la colonie de vacances de Montmartin-sur-Mer<[1]. Sa soeur et assistante était "Tante Guite".
Avec l'équipe de "La Mouff" elle participa à la création de ce qui devint par la suite les Maisons de jeunes et de la culture (MJC)<[1].
Bibliographie
- Notice biographique rédigée par Geneviève Poujol dans : Geneviève Poujol et Madeleine Romer, Dictionnaire biographique des militants, XIXe-XXe siècles. De l'éducation populaire à action culturelle, L'Harmattan, Paris, 1996 (ISBN 2-7384-4433-4), p. 244-245
- Marc Sangnier: témoignages, Editions Beauchesne, 1997 (ISBN 978-2-7010-1350-3)
Références
Notes et références