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En [[1924]], lors d'un pèlerinage à Lourdes (France), il découvre les brancardiers scouts et entre en relation avec les [[Scouts de France]].  
En [[1924]], lors d'un pèlerinage à Lourdes (France), il découvre les brancardiers scouts et entre en relation avec les [[Scouts de France]].  


En [[1925]], il crée avec ses élèves la première troupe francophone québécoise, la ''1{{re}} Longueil'', parrainée par la 19{{e}} troupe [[Scouts de France]] de Paris<ref>{{lien web|auteur=[[Yves Combeau]]|url=https://web.archive.org/web/20161110202330/http://www.27paris.net/histoire/paris/10eme_19eme.php#19eme|site=27paris.net (archive)|consulté le=1{{er}} août 2022|titre=Histoire du scoutisme à Paris - Troupes 10{{e}} à 19{{e}}}}</ref>. À l’été [[1926]], il emmène ses scouts à Sainte-Rose pour un premier camp d’été.
En [[1925]], il crée avec ses élèves la première troupe francophone québécoise, la ''1{{re}} Longueil'', sans attache avec la Boy Scout Association, mais parrainée par la 19{{e}} troupe [[Scouts de France|des Scouts de France]] de Paris<ref>{{lien web|auteur=[[Yves Combeau]]|url=https://web.archive.org/web/20161110202330/http://www.27paris.net/histoire/paris/10eme_19eme.php#19eme|site=27paris.net (archive)|consulté le=1{{er}} août 2022|titre=Histoire du scoutisme à Paris - Troupes 10{{e}} à 19{{e}}}}</ref>. À l’été [[1926]], il emmène ses scouts à Sainte-Rose pour un premier camp d’été<ref>Voir ''Premières expériences de scoutisme canadien-français''», article de Sainte-Marie dans l'action française, vol. XVIII, n°1 (juillet 1927).</ref>.


Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont fondées à Montréal et fondent, avec celle de M. Sainte-Marie, les [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français |éclaireurs canadiens-français]], dont il fut secrétaire jusqu'en [[1934]].
Il entretient une correspondance<ref>Lettres dans le fonds [[Paul Coze]], au [[Scouts de Riaumont|Laboratoire scout de Riaumont]].</ref> suivie avec [[Paul Coze]], Commissaire National Eclaireurs (CNE) des [[Scouts de France]] qui est aussi venu en visite officielle en [[1928]].
Il entretient une correspondance<ref>Lettres dans le fonds [[Paul Coze]], au [[Scouts de Riaumont|Laboratoire scout de Riaumont]].</ref> suivie avec [[Paul Coze]], Commissaire National Eclaireurs (CNE) des [[Scouts de France]] venu en visite officielle en [[1928]].


En [[1934]], sous l’impulsion du [[Rodrigue_Villeneuve|Cardinal Villeneuve]], cette [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français]] disparaît pour laisser place à la [[Fédération des scouts catholiques de la province de Québec]].
Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont lancées à Montréal<ref>Les débuts du scoutisme à Montréal ont été racontés dans une brochure polycopiée à 75 exemplaires en 1944 et signée G.M.,s.j. (Guy Ménard).</ref> et fondent, avec celle de Georges Sainte-Marie, les [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français |éclaireurs canadiens-français]], dont il fut secrétaire jusqu'en [[1934]].{{voir article|Histoire du scoutisme canadien-français}}En [[1934]], sous l’impulsion du [[Rodrigue_Villeneuve|Cardinal Villeneuve]], cette [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français]] va disparaître pour laisser place à la [[Fédération des scouts catholiques de la province de Québec]].


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Version du 21 mai 2023 à 16:40

Georges-Henri Sainte-Marie
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Fondateur

Fondateur.

Personnalité canadienne

Canada.

Georges-Henri Sainte-Marie est instituteur puis directeur d'école à Longueuil, en Montérégie.

En 1924, lors d'un pèlerinage à Lourdes (France), il découvre les brancardiers scouts et entre en relation avec les Scouts de France.

En 1925, il crée avec ses élèves la première troupe francophone québécoise, la 1re Longueil, sans attache avec la Boy Scout Association, mais parrainée par la 19e troupe des Scouts de France de Paris[1]. À l’été 1926, il emmène ses scouts à Sainte-Rose pour un premier camp d’été[2].

Il entretient une correspondance[3] suivie avec Paul Coze, Commissaire National Eclaireurs (CNE) des Scouts de France qui est aussi venu en visite officielle en 1928.

Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont lancées à Montréal[4] et fondent, avec celle de Georges Sainte-Marie, les éclaireurs canadiens-français, dont il fut secrétaire jusqu'en 1934.


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Histoire du scoutisme canadien-français


En 1934, sous l’impulsion du Cardinal Villeneuve, cette Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français va disparaître pour laisser place à la Fédération des scouts catholiques de la province de Québec.


Notes et références


  1. Yves Combeau, « Histoire du scoutisme à Paris - Troupes 10e à 19e » sur 27paris.net (archive). Consulté le 1er août 2022
  2. Voir Premières expériences de scoutisme canadien-français», article de Sainte-Marie dans l'action française, vol. XVIII, n°1 (juillet 1927).
  3. Lettres dans le fonds Paul Coze, au Laboratoire scout de Riaumont.
  4. Les débuts du scoutisme à Montréal ont été racontés dans une brochure polycopiée à 75 exemplaires en 1944 et signée G.M.,s.j. (Guy Ménard).