« Scout Jeunesse (revue) » : différence entre les versions

De Scoutopedia
(sujet à polémique)
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== Controverse ==
== Controverse ==
Il a été souvent reproché a cette revue la présence du chef de district qui devient ensuite CNE - Florian Bernard (Gilwell) dit panthère ardente – qui avait des penchants pour les adolescents. La revue est largement illustrée par ses photos, toutes sont correctes. Celui-ci était également un fameux illustrateur très proche du trait de Joubert, qu’il copiait souvent dans les revues. Hélas, une mauvaise affaire stigmatise certaines de ses photos, principalement dans les calendriers des « amis de signe de piste » '''c'est-à-dire et c’est important, bien après la revue Scout-Jeunesse.''' Le calendrier de 1983 par exemple relève trop d’ambigüité de même nature, même si les photos sont correctes et montrables, il n’en demeure pas moins une gêne.
Il a été souvent reproché a cette revue la présence du chef de district qui devient ensuite CNE - Florian Bernard (Gilwell) dit panthère ardente – qui avait des penchants pour les adolescents. La revue dont il etait le directeur est largement illustrée par ses photos, toutes sont correctes. Celui-ci était également un fameux illustrateur très proche du trait de Joubert, qu’il copiait souvent dans les revues. Hélas, une mauvaise affaire stigmatise certaines de ses photos, principalement dans les calendriers des « amis de signe de piste » '''c'est-à-dire et c’est important, bien après la revue Scout-Jeunesse.''' Le calendrier de 1983 par exemple relève trop d’ambigüité de même nature, même si les photos sont correctes et montrables, il n’en demeure pas moins une gêne.





Version du 5 décembre 2009 à 10:57

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La revue Scout-Jeunesse a compté 30 numéros, dont 2 étaient des calendriers de l’association (précisément les numéros 10 et 20). Le premier numéro date de février 1976 et se termine en juillet 1978, le numéro d’aout 1978 devait en principe sortir, mais ne fut pas distribué, du moins partiellement distribué. La revue n’a jamais subi la moindre interdiction aussi bien au Québec qu’en France, aucun document légal n’affirme cette interdiction. Cette revue est remplacée après 1978 par les « amis de signe de piste » et n’a plus grand-chose à voir avec Scout-Jeunesse. L’équipe rédactionnelle de cette revue n’a jamais été très constante. On note quand même la présence des meilleures pointures du moment : Pierre Lamoureux (Jean-Louis Foncine), Yves de Verdilhac (Serge Dalens), Pierre Joubert, Marcel Lepage...

Voir aussi les couvertures de la revue Scout Jeunesse.

Carte d’identité de la revue

Pays d’origine QUEBEC
Février 1976 – juillet 1978.
SCOUT-JEUNESSE CANADA (Provencher – J4W 1Z2)
SCOUT-JEUNESSE EUROPE (La chapelle sur Erdre - 44 - France)
Prix 8 $ par an/ par avion 10 $ - prix pour 12 numéros.
Tirage 3000 exemplaire en 1978.
Photo impression de qualité ordinaire (N/B) sur papier économique à faible grammage.
Format : légal US (+/- équivalent au A4) première de couverture couleur (Bichromie).
De 16 à 30 pages selon les mois et années.

Bureaux d’enregistrement.

Numéro de publication : ISSN-0383-0853 – Dépôt légal à OTTAWA et QUEBEC.
Office International des publications de la Jeunesse : CND-FG-0682-76
Enregistrement à la Cour Supérieur du Canada : 15-0020502-76

Ligne éditoriale

L’équipe de rédaction est tenue par un collège de membre féminin et masculin et ecclésiastique.

On retrouve aussi une régie publicitaire efficace qui permet d’abaisser les couts d’impression et d’améliorer la diffusion (tenue par Raymond Carle).
Chaque revue comporte des rubriques :

  • Les nominations et l’officiel des Guides et Scouts Bayard
  • Boutique, magasinage
  • Secourisme
  • Matelotage
  • Histoire, ex, les coutumes indiennes (Québec !)
  • Cuisine en camp
  • Chants, jeux, veillés
  • Débrouillardise
  • Campisme
  • Spiritualité
  • Reportages
  • Petites annonces
  • Et diverses autres choses selon les numéros.

Controverse

Il a été souvent reproché a cette revue la présence du chef de district qui devient ensuite CNE - Florian Bernard (Gilwell) dit panthère ardente – qui avait des penchants pour les adolescents. La revue dont il etait le directeur est largement illustrée par ses photos, toutes sont correctes. Celui-ci était également un fameux illustrateur très proche du trait de Joubert, qu’il copiait souvent dans les revues. Hélas, une mauvaise affaire stigmatise certaines de ses photos, principalement dans les calendriers des « amis de signe de piste » c'est-à-dire et c’est important, bien après la revue Scout-Jeunesse. Le calendrier de 1983 par exemple relève trop d’ambigüité de même nature, même si les photos sont correctes et montrables, il n’en demeure pas moins une gêne.