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Malade en [[1911]], Williamson donne très vite sa place aux frères '''Charles et Henri Bonnamaux''' qui prennent la tête du nouveau très proche pédagogiquement des Eclaireurs de France. En effet, les EUF se veulent comme les EDF ouverts à toutes les familles spirituelles. Ces 2 associations entretiendront toujours de très bonnes relations.
Malade en [[1911]], Williamson donne très vite sa place aux frères '''Charles et Henri Bonnamaux''' qui prennent la tête du nouveau très proche pédagogiquement des Eclaireurs de France. En effet, les EUF se veulent comme les EDF ouverts à toutes les familles spirituelles. Ces 2 associations entretiendront toujours de très bonnes relations.


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Version du 11 avril 2007 à 15:50

En 1910, Samuel Williamson est secrétaire général des UCJG (Unions Chrétiennens des Jeunes Gens) auxquelles est rattaché le patronage du pasteur Galienne. Très intéressé par la tournure que prend le patronage "école de garde" du pasteur, il demande à quelques responsables d'autres sections de l'organisation protestante (UCJG) de faire de même. Du coup, des troupes d'Eclaireurs commencent à voir le jour ça et là, à Boulogne ou Saint-Maur, dans le cadre de l'UCJG.

Williamson suivra de près les discussions et rapprochements entre Pierre de Coubertin, Nicolas Benoit et Georges Bertier. Mais suite à la désunion des pionniers du scoutisme Français, il préfère créer sur les conseils de Robert de Jarnac une association protestante indépendante soutenue par l'Eglise réformée en 1911 : les Eclaireurs Unionistes de France (EUF).

Le terme "unioniste" vient évidemment de l'UCJG d'où viennent les premiers effectifs. Le coq est pris comme emblème des EUF.

Malade en 1911, Williamson donne très vite sa place aux frères Charles et Henri Bonnamaux qui prennent la tête du nouveau très proche pédagogiquement des Eclaireurs de France. En effet, les EUF se veulent comme les EDF ouverts à toutes les familles spirituelles. Ces 2 associations entretiendront toujours de très bonnes relations.