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Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris  
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris.


Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.
Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.


Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d’ André Lefèvre, des Eclaireurs-de-France et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe).   
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Version du 10 avril 2017 à 07:48

Renée Sainte-Claire Deville
"Coq noir" avec les commissaires FFE en 1936
"Coq noir" avec les commissaires FFE en 1936
1889 · 7 juillet 1968

Fondateur

Fondateur.

Personnalité Fédération française des éclaireuses

Fédération française des éclaireuses.

Personnalité française

France.
Couverture du DT XVIII consacré à "Coq noir"

Renée Sainte-Claire Deville est née en 1889 dans une famille de savants et de militaires, originaire des Antilles, qui compte parmi ses rangs le célèbre chimiste Henri-Étienne.

Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en 1914 l’artillerie de toute l’armée française.

Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris.

Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.

Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d'André Lefevre, des Éclaireurs de France (EDF) et de la Maison pour Tous de la rue Mouffetard (La Mouffe).

En 1921, elle participe au Congrès d’Epinal, qui aboutit à la naissance de la Fédération Française des Éclaireuses (FFE).

En collaboration avec Marguerite Walther, elle organise la branche cadette de la FFE qu'elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget. Son totem est Coq noir.

Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe ».

En 1942, réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en 1945.

En 1946, elle épouse Georges Bertier, ancien directeur de l’école des Roches et président des EDF.

Elle est morte à Paris le 7 juillet 1968.


Fédération Française des Éclaireuses Cet article fait partie de la série
Fédération Française des Éclaireuses
Fédération Française des Éclaireuses
Président : Liste des présidentes de la fédération française des éclaireuses
Commissaire national : Liste des commissaires nationales de la fédération française des éclaireuses
Commissaire2 : (aucun)
Tranches d'âge : Petites AilesÉclaireusesÉclaireuses Aînées
Organes : {{{organes}}}
Évènements :
Centres : Les Courmettes (1935–1964) • La Répara (1953–1963) • Les Prés (1953–1964)
Publications : Manuels : Manuel de l'éclaireuseMon carnet de petite aile

Revues : La PlumePetites AilesL'AlouettePrêteLe FagotLe Trèfle
Autres : Calendriers

Histoire : Congrès d’ÉpinalFFEUÉclaireuses et Éclaireurs Unionistes de France

Fondatrices : Madeleine BeleyAntoinette ButteSuzanne CarrViolette MouchonRenée Sainte-Claire DevilleGeorgette Siegrist‎Marguerite Walther

Associations adhérentes : {{{adhérents}}}
Personnalités : {{{personnalités}}}
LoiLa PromesseUniforme