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Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en [[1914]] l’artillerie de toute l’armée française.
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris  
Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris.


Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.
Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.


Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d’ [[André Lefevre]], des [[Eclaireurs de France]] et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe).   
Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d'[[André Lefevre]], des [[Eclaireurs de France]] et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe).   


En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Eclaireuses]] (FFE)
En [[1921]], elle participe au [[Congrès d’Epinal]], qui aboutit à la naissance de la [[Fédération Française des Eclaireuses]] (FFE)


En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la FFE qu’elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget.
En collaboration avec [[Marguerite Walther]], elle organise la branche cadette de la [[FFE]] qu'elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget. Son [[totem]] est ''Coq noir''.


Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe »
Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe »


En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en [[1945]].
En [[1942]], réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en [[1945]].


En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des Eclaireurs de France (EDF)
En [[1946]], elle épouse [[Georges Bertier]], ancien directeur de l’école des Roches et président des [[Eclaireurs de France]] (EDF)


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Version du 25 novembre 2010 à 13:17

Renée Sainte-Claire Deville
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1889 · 7 juillet 1968

Fondateur

Fondateur.

Personnalité éclaireuses et éclaireurs de France

Éclaireuses et éclaireurs de France.

Personnalité française

France.

Renée Sainte-Claire Deville est née en 1889 dans une famille de savants et de militaires, originaire des Antilles, qui compte parmi ses rangs le célèbre chimiste Henri-Etienne.

Sa mère est une sœur du premier mari de Colette et son père, inventeur du frein du canon de 75, supervise en 1914 l’artillerie de toute l’armée française.

Durant la Grande Guerre, elle travaille dans un hôpital de Chambéry. A la fin de la guerre, elle rentre à Paris.

Marquée par son expérience de la guerre, elle souhaite s’investir dans l’action caritative et sociale.

Un prêtre, ancien du Sillon, lui parle d'André Lefevre, des Eclaireurs de France et de la « Maison pour Tous » de la rue Mouffetard (La Mouffe).

En 1921, elle participe au Congrès d’Epinal, qui aboutit à la naissance de la Fédération Française des Eclaireuses (FFE)

En collaboration avec Marguerite Walther, elle organise la branche cadette de la FFE qu'elle nomme « Petites Ailes » en s'inspirant largement des idées pédagogiques de Bovet, Montessori et de Piaget. Son totem est Coq noir.

Afin de permettre aux responsables catholiques de bien répondre aux questions que ne manque pas de poser la rencontre dans le scoutisme de diverses confessions et spiritualités, elle crée « l’équipe du Verbe »

En 1942, réfugiée en zone Sud, elle devient Commissaire nationale. Elle abandonne sa charge en 1945.

En 1946, elle épouse Georges Bertier, ancien directeur de l’école des Roches et président des Eclaireurs de France (EDF)

Elle est morte à Paris le 7 juillet 1968.