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Moment essentiel du scoutisme non confessionnel de l'après guerre en France, les résolutions d’Angoulême, adoptées en [[1949]] par l’Equipe nationale de la branche Éclaireurs des [[Éclaireurs de France|EDF]] sont ratifiées, après approbation du Comité Directeur, par la réunion de branche du Congrès de Chefs suivant.
Moment essentiel du scoutisme non confessionnel de l'après guerre en France, les résolutions d’Angoulême, adoptées en [[1949]] par l’Equipe nationale de la branche Éclaireurs des [[Éclaireurs de France|EDF]] sont ratifiées, après approbation du Comité Directeur, par la réunion de branche du Congrès de Chefs suivant.


S'insérant dans un courant de pédagogie libérale, également en germe à l'Education Nationale, elles annoncent l'abandon d'un scoutisme codifié, se prononcent pour la libre démocratie des jeunes et marquent le tournant laïc de l'association. Ce changement de cap deviendra visible au début des années 50, notamment à l'occasion du départ de [[Georges Bertier]].
S'insérant dans un courant de pédagogie libérale, également en germe à l'Education Nationale, elles annoncent l'abandon d'un scoutisme codifié, se prononcent pour la libre démocratie des jeunes et marquent surtout l'affirmation du courant laïc de l'association, déja présent depuis 1934. Ce changement de cap deviendra ostensible au début des années 50, notamment à l'occasion du départ de [[Georges Bertier]], dernier représentant du neutralisme religieux.  
 
==Liens internes==
==Liens internes==
* [[Résolutions d'Auvillars]] en [[1940]].
* [[Résolutions d'Auvillars]] en [[1940]].

Version du 28 décembre 2008 à 23:33

Moment essentiel du scoutisme non confessionnel de l'après guerre en France, les résolutions d’Angoulême, adoptées en 1949 par l’Equipe nationale de la branche Éclaireurs des EDF sont ratifiées, après approbation du Comité Directeur, par la réunion de branche du Congrès de Chefs suivant.

S'insérant dans un courant de pédagogie libérale, également en germe à l'Education Nationale, elles annoncent l'abandon d'un scoutisme codifié, se prononcent pour la libre démocratie des jeunes et marquent surtout l'affirmation du courant laïc de l'association, déja présent depuis 1934. Ce changement de cap deviendra ostensible au début des années 50, notamment à l'occasion du départ de Georges Bertier, dernier représentant du neutralisme religieux.

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