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Il meurt en plongée près de Toulon le [[16 août]] [[1955]] lors d'une exploration de l'épave de l'Arroyo. C'était pendant une période de réserve au commando Hubert (nageurs de combat de la Marine) au lieu dit "''les deux frères''" près de la rade de Toulon. Une plaque commémorative y est, depuis, apposée.
Il meurt en plongée près de Toulon le [[16 août]] [[1955]] lors d'une exploration de l'épave de l'Arroyo. C'était pendant une période de réserve au commando Hubert (nageurs de combat de la Marine) au lieu dit "''les deux frères''" près de la rade de Toulon. Une plaque commémorative y est, depuis, apposée.
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==Liens==


 
* [https://www.honneur-au-scoutisme.com/233+labat-pierre.html Biographie sur Honneur au scoutisme]
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== Bibliographie ==
== Bibliographie ==

Version du 29 janvier 2019 à 01:03

Né à Tarbes le 31 mai 1926, Pierre Labat y est scout. Engagé volontaire au sein des Fusiliers marins commandos en 1944, il reçoit la croix de guerre à 18 ans !

Avocat de profession, il est CT de la 3e puis de la 1re Tarbes des Scouts de France dès 1945, il servira dix ans le mouvement (Scouts de France) puis vers 1950, il amène cette troupe à la qualification de raiders marins.

Couverture du roman Deux rubans noirs


Proche du Commandant Cousteau, il fonde le 1er groupe de plongée sous-marine des Scouts de France. C'est aussi un romancier scout, auteur notamment de Deux rubans noirs, consacré aux raiders.

Il avait d'ailleurs participé à l'élaboration des mines "à ventouse" destinées à être posées sur une partie sensible de la coque d'un bateau cible. Il avait également mis au point un détendeur inédit pour un scaphandre - "le pieuvre" fabriqué avec une bouillotte en caoutchouc ! - quand il était CT de la 1re troupe sous-marine de Tarbes dans les années 1950.


Sa devise : « Toute conquête veut qu’on la paye... Chaque plongée est un acte de foi...»


Il meurt en plongée près de Toulon le 16 août 1955 lors d'une exploration de l'épave de l'Arroyo. C'était pendant une période de réserve au commando Hubert (nageurs de combat de la Marine) au lieu dit "les deux frères" près de la rade de Toulon. Une plaque commémorative y est, depuis, apposée.

Liens

Bibliographie