« Par la main » : différence entre les versions
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''Paroles et musique : Aimé Duval. © Auvidis'' | ''Paroles et musique : Aimé Duval. © Auvidis'' | ||
'''Refrain''' :Tout au long des longues, longues plaines | '''Refrain''' :Tout au long des longues, longues plaines <br/> | ||
Peuple immense avance lentement. | Peuple immense avance lentement.<br/> | ||
Chants de joie et chants, et chants de peine<br/> | |||
Peuple immense va chantant.<br/> | |||
'''4.''' Ils s’en vont du fond des vieux temps | '''1.''' Ils n’ont pas leur Père avec eux,<br/> | ||
Vers des cieux sans haine et sans pleurs. | |||
Ils s’en vont du fond des vieux temps | Mais ils savent bien leur chemin.<br/> | ||
Embrassant leurs frèr’s en passant. | |||
Ils n’ont pas leur père avec eux,<br/> | |||
Mais leur Mère les tient par la main.<br/> | |||
'''2.''' Tant de haine tombe sur eux,<br/> | |||
Tant d’orages troublent leur ciel,<br/> | |||
Qu’ils s’en vont d’un pas miséreux<br/> | |||
Mais les joues baignées de soleil.<br/> | |||
'''3.''' Et quand l’un des leurs est tombé,<br/> | |||
Sur sa tombe ils sèment des pleurs.<br/> | |||
Mais pour une larme tombée<br/> | |||
Sur la tombe il pousse mille fleurs.<br/> | |||
'''4.''' Ils s’en vont du fond des vieux temps<br/> | |||
Vers des cieux sans haine et sans pleurs.<br/> | |||
Ils s’en vont du fond des vieux temps<br/> | |||
Embrassant leurs frèr’s en passant.<br/> | |||
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Version du 26 juillet 2006 à 17:16
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Paroles et musique : Aimé Duval. © Auvidis
Refrain :Tout au long des longues, longues plaines
Peuple immense avance lentement.
Chants de joie et chants, et chants de peine
Peuple immense va chantant.
1. Ils n’ont pas leur Père avec eux,
Mais ils savent bien leur chemin.
Ils n’ont pas leur père avec eux,
Mais leur Mère les tient par la main.
2. Tant de haine tombe sur eux,
Tant d’orages troublent leur ciel,
Qu’ils s’en vont d’un pas miséreux
Mais les joues baignées de soleil.
3. Et quand l’un des leurs est tombé,
Sur sa tombe ils sèment des pleurs.
Mais pour une larme tombée
Sur la tombe il pousse mille fleurs.
4. Ils s’en vont du fond des vieux temps
Vers des cieux sans haine et sans pleurs.
Ils s’en vont du fond des vieux temps
Embrassant leurs frèr’s en passant.