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'''Maurice Barrier''' est dès [[1921]] le fondateur de la 11{{e}} Paris à Notre Dame de Clignancourt (18{{e}}) puis de la 1{{re}} Versailles. | '''Maurice Barrier''', mort tragiquement, est dès [[1921]] le fondateur de la 11{{e}} Paris à Notre Dame de Clignancourt (18{{e}}) puis de la 1{{re}} Versailles. | ||
[[Image:chamarande-1922.jpg|left|250px|thumb|Premier camp national [[Scouts de France|scouts de France]] à [[Chamarande (camp école)|Chamarande]]. Maurice Barrier est au 3{{e}} rang, 4{{e}} en partant de la gauche.]] | [[Image:chamarande-1922.jpg|left|250px|thumb|Premier camp national [[Scouts de France|scouts de France]] à [[Chamarande (camp école)|Chamarande]]. Maurice Barrier est au 3{{e}} rang, 4{{e}} en partant de la gauche.]] | ||
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{{citation|Éclaireur à Paris Passy, c’est-à-dire un groupe attaché à un temple protestant, bien qu’il soit catholique, puis à Nantes en 1914, puis au Havre où il rencontre les S. d. F. par le père Héret. Il passe aux S. d. F. et devient aussitôt le premier Sm. de la 11e Paris à Notre-Dame-de-Clignancourt avec l’abbé Klein et René Audic en 1922, tout en fondant la 1re Versailles (Notre Dame, lycée Hoche) avec l’abbé Richaud : il est Sm. des deux troupes à la fois en 1922. Nommé [[commissaire]] de district à Versailles, il crée aussitôt la 2e Versailles, et la Hutte avec [[Hubert Verley]] et [[André Inbona]]. Joue certainement un rôle dans la fondation de la 31e Paris (Saint-Jean-de-Montmartre). Il meurt par noyade en sortie en Bretagne avec ses scouts le 19 juillet 1923. Son nom est donné aussitôt au clan et au groupe 3e Versailles. Il habitait 2, square du Croisic, à Paris, mais il a été enterré à Pontchartrain (Yvelines). Totem : Éléphant (« Phant ») bleu.}}i" | {{citation|Éclaireur à Paris Passy, c’est-à-dire un groupe attaché à un temple protestant, bien qu’il soit catholique, puis à Nantes en 1914, puis au Havre où il rencontre les S. d. F. par le père Héret. Il passe aux S. d. F. et devient aussitôt le premier Sm. de la 11e Paris à Notre-Dame-de-Clignancourt avec l’abbé Klein et René Audic en 1922, tout en fondant la 1re Versailles (Notre Dame, lycée Hoche) avec l’abbé Richaud : il est Sm. des deux troupes à la fois en 1922. Nommé [[commissaire]] de district à Versailles, il crée aussitôt la 2e Versailles, et la Hutte avec [[Hubert Verley]] et [[André Inbona]]. Joue certainement un rôle dans la fondation de la 31e Paris (Saint-Jean-de-Montmartre). Il meurt par noyade en sortie en Bretagne avec ses scouts le 19 juillet 1923. Son nom est donné aussitôt au clan et au groupe 3e Versailles. Il habitait 2, square du Croisic, à Paris, mais il a été enterré à Pontchartrain (Yvelines). Totem : Éléphant (« Phant ») bleu.}}i" | ||
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Voir également dans [[Le Chef]] n° 18-19-20 d'octobre 1923 l'article ''In Memoriam'' signé de Loup Blanc et une lettre de son père au général de Salins. | |||
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France. |
Maurice Barrier, mort tragiquement, est dès 1921 le fondateur de la 11e Paris à Notre Dame de Clignancourt (18e) puis de la 1re Versailles.
Voici ce qu'écrit le Frère Yves Combeau:
« Éclaireur à Paris Passy, c’est-à-dire un groupe attaché à un temple protestant, bien qu’il soit catholique, puis à Nantes en 1914, puis au Havre où il rencontre les S. d. F. par le père Héret. Il passe aux S. d. F. et devient aussitôt le premier Sm. de la 11e Paris à Notre-Dame-de-Clignancourt avec l’abbé Klein et René Audic en 1922, tout en fondant la 1re Versailles (Notre Dame, lycée Hoche) avec l’abbé Richaud : il est Sm. des deux troupes à la fois en 1922. Nommé commissaire de district à Versailles, il crée aussitôt la 2e Versailles, et la Hutte avec Hubert Verley et André Inbona. Joue certainement un rôle dans la fondation de la 31e Paris (Saint-Jean-de-Montmartre). Il meurt par noyade en sortie en Bretagne avec ses scouts le 19 juillet 1923. Son nom est donné aussitôt au clan et au groupe 3e Versailles. Il habitait 2, square du Croisic, à Paris, mais il a été enterré à Pontchartrain (Yvelines). Totem : Éléphant (« Phant ») bleu. »
i"
Voir également dans Le Chef n° 18-19-20 d'octobre 1923 l'article In Memoriam signé de Loup Blanc et une lettre de son père au général de Salins.