« Louis Faure » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 13 : | Ligne 13 : | ||
En [[1912]], '''Louis Faure''' a été le fondateur au Creusot (Saône et Loire) de la Milice Saint-Michel qui est une des | En [[1912]], '''Louis Faure''' a été le fondateur au Creusot (Saône et Loire) de la Milice Saint-Michel qui est une des premières unités catholiques françaises à pratiquer du scoutisme{{référence nécessaire}}. Beaucoup de ses jeunes étaient des apprentis des usines métallurgiques locales. | ||
Louis Faure raconte l'entrée dans le tout nouveau mouvement [[Scouts de France]] en aout [[1922]]. Alors que sa troupe du Creusot, au début du 1{{er}} camp national à [[Chamarande]], vient juste de s'affilier, à condition de garder sa loi en douze articles, son uniforme et toutes ses coutumes propres : | Louis Faure raconte l'entrée dans le tout nouveau mouvement [[Scouts de France]] en aout [[1922]]. Alors que sa troupe du Creusot, au début du 1{{er}} camp national à [[Chamarande]], vient juste de s'affilier, à condition de garder sa loi en douze articles, son uniforme et toutes ses coutumes propres : | ||
{{Citation|Si, par souci de dignité, nous avons tenu à garder jusqu'à la fin du camp nos particularités, notre choix était fait dès ce moment. A peine rentrés chez nous, nous abandonnions notre traditionnel béret pour le chapeau à quatre bosses orné de la [[croix potencée]], symbole, pour nous, de notre attachement indéfectible à l'Association nationale.}} | {{Citation|Si, par souci de dignité, nous avons tenu à garder jusqu'à la fin du camp nos particularités, notre choix était fait dès ce moment. A peine rentrés chez nous, nous abandonnions notre traditionnel béret pour le chapeau à quatre bosses orné de la [[croix potencée]], symbole, pour nous, de notre attachement indéfectible à l'Association nationale.}} | ||
Plus tard, Louis Faure fut commissaire provincial de Bourgogne-Nivernais et | Plus tard, Louis Faure fut commissaire provincial de Bourgogne-Nivernais et s'est vu confier en 1929 le Château du Breuil par Eugène Schneider. Le Breuil accueillit les camps-écoles des trois branches et les camps-écoles d'entraînement de la Route de 1932 à 1938. Il fut l'un des fondateurs des [[Amitiés de France]] dont il fut président jusqu'en [[1976]]. Il mourut en 1989. | ||
Ligne 24 : | Ligne 24 : | ||
== Bibliographie== | == Bibliographie== | ||
''[[1912]]-[[1967]], le scoutisme au Creusot, au [[Le Breuil|Breuil]], en France et au delà'', | ''[[1912]]-[[1967]], le scoutisme au Creusot, au [[Le Breuil|Breuil]], en France et au delà'', Chalon-sur Saône, [[1971]]. | ||
{{portail personnalités}} | {{portail personnalités}} |
Version du 12 février 2012 à 16:24
Cet article est une ébauche concernant une personnalité et a besoin d'être illustré. Vous êtes invités à partager vos connaissances en le modifiant. • Comment modifier une page ? |
Fondateur. |
Scouts de France. |
France. |
En 1912, Louis Faure a été le fondateur au Creusot (Saône et Loire) de la Milice Saint-Michel qui est une des premières unités catholiques françaises à pratiquer du scoutisme[réf. nécessaire]. Beaucoup de ses jeunes étaient des apprentis des usines métallurgiques locales.
Louis Faure raconte l'entrée dans le tout nouveau mouvement Scouts de France en aout 1922. Alors que sa troupe du Creusot, au début du 1er camp national à Chamarande, vient juste de s'affilier, à condition de garder sa loi en douze articles, son uniforme et toutes ses coutumes propres :
« Si, par souci de dignité, nous avons tenu à garder jusqu'à la fin du camp nos particularités, notre choix était fait dès ce moment. A peine rentrés chez nous, nous abandonnions notre traditionnel béret pour le chapeau à quatre bosses orné de la croix potencée, symbole, pour nous, de notre attachement indéfectible à l'Association nationale. »
Plus tard, Louis Faure fut commissaire provincial de Bourgogne-Nivernais et s'est vu confier en 1929 le Château du Breuil par Eugène Schneider. Le Breuil accueillit les camps-écoles des trois branches et les camps-écoles d'entraînement de la Route de 1932 à 1938. Il fut l'un des fondateurs des Amitiés de France dont il fut président jusqu'en 1976. Il mourut en 1989.
« La Route n'est pas l'aboutissement du scoutisme, elle en est le prolongement et l'adaptation dans un champ différent »
Bibliographie
1912-1967, le scoutisme au Creusot, au Breuil, en France et au delà, Chalon-sur Saône, 1971.