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La '''Kasbah''' fut, à partir de 1928, la maison des Lévriers, patrouille de service de la    [[2me Chamarande]] des Scouts de France.
[[image:Casbah 1937.jpg|right|thumb|450 px|La "Cashah" en 1937 (source : Musée du scoutisme Cardona)]]


Auparavant logé sous tente, les Lévriers furent ensuite abrités dans un baraquement construit par le commissaire Jean Renard, l'intendant Yves le Breton et leur équipe. De style mauresque, doté  coupole et de couleur blanche, l'ensemble évoquait une demeure algérienne, d'le nom qui s'imposa.
La '''Kasbah''' fut, à partir de [[1928]], la maison des [[Lévriers]], patrouille de service de l'officieuse [[2e Chamarande|2{{e}} Chamarande]] des [[Scouts de France]]. Elle était proche, pour des raisons pratiques, du [[Kraal]] siégeaient les chefs.


On peut mettre ce choix en relation avec la [[Msallah Aïssa]] de même époque. Il s'agissait d'évoquer l'aventure coloniale à Chamarande.
Auparavant logés sous tente, les Lévriers furent ensuite abrités dans un baraquement construit par le commissaire Jean Renard, l'intendant [[Yves Le Breton]] et leur équipe. De style mauresque, doté d'une coupole et de couleur blanche, l'ensemble évoquait une demeure algérienne ou un "marabout", d'où le nom qui s'imposa.


[[Catégorie: scouts de France]]
On peut mettre ce choix en relation avec la [[Msallah Aïssa]] de même époque. Il s'agissait d'évoquer l'aventure coloniale et l'exotisme à Chamarande.
 
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[[Catégorie:Lieu de scoutisme en France]]

Dernière version du 22 juin 2022 à 14:44

La "Cashah" en 1937 (source : Musée du scoutisme Cardona)

La Kasbah fut, à partir de 1928, la maison des Lévriers, patrouille de service de l'officieuse 2e Chamarande des Scouts de France. Elle était proche, pour des raisons pratiques, du Kraal où siégeaient les chefs.

Auparavant logés sous tente, les Lévriers furent ensuite abrités dans un baraquement construit par le commissaire Jean Renard, l'intendant Yves Le Breton et leur équipe. De style mauresque, doté d'une coupole et de couleur blanche, l'ensemble évoquait une demeure algérienne ou un "marabout", d'où le nom qui s'imposa.

On peut mettre ce choix en relation avec la Msallah Aïssa de même époque. Il s'agissait d'évoquer l'aventure coloniale et l'exotisme à Chamarande.