« Groupe EEUdF Maison Verte » : différence entre les versions

	Éclaireuses et éclaireurs unionistes de France Paris
	Groupe mixte
Fondation :	2008
Fondateurs :	Thomas Luquet (Wombat)
Fermeture :	{{{fermeture}}}
Chef(s) actuel(s) :	Claire Oberkampf de Dabrun (Indri)
Adresse :	127-129 rue Marcadet; Paris 18e
Téléphone :	01 42 54 61 25
E-mail :
	claireoberkampf@hotmail.fr
Site web :
	http://barbes-montmartre.org

VisuelWikicode

Version du 22 février 2015 à 21:59

Cet article est une ébauche concernant un groupe.

Vous êtes invités à partager vos connaissances en le modifiant. • Comment modifier une page ?

En France, ce groupe fait partie d'un des dix mouvements pratiquant officiellement l'accueil de scoutisme.

48° 53' 27.74" N, 2° 20' 28.68" E

Présentation

Le groupe de la Maison Verte rouvre officiellement en 2008 sous le nom de Barbès-Montmartre sous l’impulsion de Nicolas Coiffier (Thylacine – Région Paris), Thomas Luquet et Stéphane Lavignotte (Pasteur de la Maison Verte). À l’origine, grande villa pourvue d’un beau jardin devenu patronage, la Maison Verte est à partir de 1895 l’un des principaux centres de la Mission Populaire Évangélique (Miss’ Pop’) dans un des quartiers populaires de Paris.

Antoinette Butte y avait fondé l’un des premiers groupes d’éclaireuses en 1912. Il a abrité par la suite une unité EUF.

Le nouveau groupe garde le foulard vert et gris de la Maison Verte porté par le pasteur Jean Jousselin qui y fut pasteur et chef à partir de 1941.

Histoire

En 1911, le groupe masculin de Montmartre est créé chez les Éclaireurs Unionistes de France. En mai 1916 Antoinette Butte lance à la Maison Verte une des premières unités féminines unioniste. Le groupe masculin de Montmartre finira par être aspiré par celui de la Maison Verte^{[réf. nécessaire]}.

En 1917, le pasteur Léon Peyric^[1], directeur de la Maison Verte et chef de la Troupe de Montmartre avant la Première Guerre a été cité le 2 mars 1917 à la Croix de Guerre pour son soutien aux légionnaires et aux zouaves de régiment de marche d’Afrique « qu’il encourageait par sa parole chaude et au chevet des blessés, prêchant l’espérance et la foi dans le succès » dans les tranchées des Dardanelles, en Serbie et lors de la marche sur Monastir ^[2].

En 1948, le groupe de Montmartre possède une meute (CM : Paule Le Bail), une troupe (CTa : Jean Mouton) et est dirigé par Jean Bachmann et le Pasteur Pierre Barbery.
Le groupe Maison Verte quant à lui, possède une meute (CM : Hélène Salens), une troupe (CT : Roger Salles) et un clan routier (CC : François Chauffeton), le tout dirigé par Robert Ahier, assisté de Raymond Patin et du Pasteur Paul Arbousset.

Fermé puis rouvert en 2008 sous le nom de Barbès-Montmartre

Camps

2008 : Année jumelé avec le groupe de Batignolles
2010 : Année autonome, participe au camp Azimut à Pâques et au camp Touline en été.
2011 : Participe au camp centenaire en Auvergne

Voir aussi

Notes et références

↑ Né en 1876, le Pasteur Peyric appartient à l'Union chrétienne de jeunes gens.
↑ L’Éclaireur Unioniste n°8 (4^e année), Octobre 1917, p.61

Les groupes scouts

[1] Né en 1876, le Pasteur Peyric appartient à l'Union chrétienne de jeunes gens.

[2] L’Éclaireur Unioniste n°8 (4^e année), Octobre 1917, p.61

[1]

[2]

@@ Ligne 34 : / Ligne 34 : @@
 == Histoire ==
-En [[1911]], le groupe de Montmartre est créé chez les [[EUF|Éclaireurs Unionistes de France]].
+En [[1911]], le groupe masculin de Montmartre est créé chez les [[EUF|Éclaireurs Unionistes de France]]. En mai 1916 [[Antoinette Butte]] lance à la Maison Verte une des premières unités féminines unioniste. Le groupe masculin de Montmartre finira par être aspiré par celui de la Maison Verte{{référence nécessaire}}.<br/>
-Plus tard, le groupe Maison Verte, à Barbès, est créé au sein de la [[FFE|Fédération Française des Éclaireuses]].<br/>
-Le groupe de Montmartre finira par être aspiré par celui de la Maison Verte{{référence nécessaire}}.<br/>
-.
 En [[1917]], le pasteur Léon Peyric<ref>Né en [[1876]], le Pasteur Peyric appartient à l'[[Union chrétienne de jeunes gens]].</ref>, directeur de la Maison Verte et [[CT|chef]] de la Troupe de Montmartre avant la Première Guerre a été cité le [[2 mars]] [[1917]] à la Croix de Guerre pour son soutien aux légionnaires et aux zouaves de régiment de marche d’Afrique « ''qu’il encourageait par sa parole chaude et au chevet des blessés, prêchant l’espérance et la foi dans le succès'' » dans les tranchées des Dardanelles, en Serbie et lors de la marche sur Monastir