« Georges-Henri Sainte-Marie » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
| (6 versions intermédiaires par 5 utilisateurs non affichées) | |||
| Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
}} | }} | ||
'''Georges-Henri Sainte-Marie''' est instituteur puis directeur d'école à Longueuil, en [[Montérégie | '''Georges-Henri Sainte-Marie''' est instituteur puis directeur d'école à Longueuil, en [[Montérégie]]. | ||
En [[1925]], il crée avec ses élèves la | En [[1924]], lors d'un pèlerinage à Lourdes (France), il découvre les brancardiers scouts et entre en relation avec les [[Scouts de France]]. | ||
En [[1925]], il crée avec ses élèves la première troupe francophone québécoise, la ''1{{re}} Longueil'', parrainée par la 19{{e}} troupe [[Scouts de France]] de Paris<ref>{{lien web|auteur=[[Yves Combeau]]|url=https://web.archive.org/web/20161110202330/http://www.27paris.net/histoire/paris/10eme_19eme.php#19eme|site=27paris.net (archive)|consulté le=1{{er}} août 2022|titre=Histoire du scoutisme à Paris - Troupes 10{{e}} à 19{{e}}}}</ref>. À l’été [[1926]], il emmène ses scouts à Sainte-Rose pour un premier camp d’été. | |||
Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont fondées à Montréal et fondent, avec celle de M. Sainte-Marie, les [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français |éclaireurs canadiens-français]], dont il fut secrétaire jusqu'en [[1934]]. | Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont fondées à Montréal et fondent, avec celle de M. Sainte-Marie, les [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français |éclaireurs canadiens-français]], dont il fut secrétaire jusqu'en [[1934]]. | ||
Il | Il entretient une correspondance<ref>Lettres dans le fonds [[Paul Coze]], au [[Scouts de Riaumont|Laboratoire scout de Riaumont]].</ref> suivie avec [[Paul Coze]], Commissaire National Eclaireurs (CNE) des [[Scouts de France]] venu en visite officielle en [[1928]]. | ||
En [[1934]], sous l’impulsion du [[Rodrigue_Villeneuve|Cardinal Villeneuve]] cette [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français]] disparaît pour laisser place à la [[Fédération des scouts catholiques de la | En [[1934]], sous l’impulsion du [[Rodrigue_Villeneuve|Cardinal Villeneuve]], cette [[Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français]] disparaît pour laisser place à la [[Fédération des scouts catholiques de la province de Québec]]. | ||
{{références}} | |||
{{portail personnalités}} | {{portail personnalités}} | ||
[[Catégorie:Personnalité Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français]] | |||
Version du 14 décembre 2022 à 15:45
 
|
Cet article est une ébauche concernant une personnalité et a besoin d'être illustré. Vous êtes invités à partager vos connaissances en le modifiant. • Comment modifier une page ? |
Georges-Henri Sainte-Marie est instituteur puis directeur d'école à Longueuil, en Montérégie.
En 1924, lors d'un pèlerinage à Lourdes (France), il découvre les brancardiers scouts et entre en relation avec les Scouts de France.
En 1925, il crée avec ses élèves la première troupe francophone québécoise, la 1re Longueil, parrainée par la 19e troupe Scouts de France de Paris[1]. À l’été 1926, il emmène ses scouts à Sainte-Rose pour un premier camp d’été.
Au cours des années suivantes, quatre autres troupes sont fondées à Montréal et fondent, avec celle de M. Sainte-Marie, les éclaireurs canadiens-français, dont il fut secrétaire jusqu'en 1934. Il entretient une correspondance[2] suivie avec Paul Coze, Commissaire National Eclaireurs (CNE) des Scouts de France venu en visite officielle en 1928.
En 1934, sous l’impulsion du Cardinal Villeneuve, cette Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français disparaît pour laisser place à la Fédération des scouts catholiques de la province de Québec.
Notes et références
- ↑ Yves Combeau, « Histoire du scoutisme à Paris - Troupes 10e à 19e » sur 27paris.net (archive). Consulté le 1er août 2022
- ↑ Lettres dans le fonds Paul Coze, au Laboratoire scout de Riaumont.