« Gaston Clerc » : différence entre les versions
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Dès [[1913]], Gaston Clerc est également l'un des pères du roman scout francophone, parmi d'autres auteurs comme Paul Zimmermann (Simmermann ?), [[Adolphe d'Espie de La Hire|Jean de la Hire]] ou encore le colonel Royet et Arnould Galopin.<ref>Un siècle de fictions pour les 8 à 15 ans... de Raymond Perrin.</ref> | Dès [[1913]], Gaston Clerc est également l'un des pères du roman scout francophone, parmi d'autres auteurs comme Paul Zimmermann (Simmermann ?), [[Adolphe d'Espie de La Hire|Jean de la Hire]] ou encore le colonel Royet et Arnould Galopin.<ref>''Un siècle de fictions pour les 8 à 15 ans...'' de Raymond Perrin.</ref> | ||
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Version du 18 février 2021 à 12:43
En 1910, Gaston Clerc est secrétaire général des sections cadettes de l'Union Chrétienne de Jeunes Gens (UCJG) de Suisse romande, lorsqu'il s'enthousiasme pour la méthode scoute après la lecture de Scouting for boys. Il organise plusieurs conférences (notamment au Locle en octobre) au sein des unions cadettes pour exposer et discuter de l'intérêt pour les cadets (12-16 ans) d'utiliser la méthode scoute.
En 1911, il achète les droits de traductions de Scouting for boys et traduit le premier chapitre (celui sur l'éclaireur chevaleresque). C'est ensuite le pédagogue genevois Pierre Bovet qui reprendra la traduction pour en faire, en 1912, la première édition en français.
Sur la demande de Gaston Clerc, les délégués des sections cadettes d'Union chrétienne de Suisse romande se réunissent à Neuchâtel le 12 février 1912. Lors de cette assemblée, ils décident de créer un comité neutre politiquement et laïque afin de patronner et répandre le scoutisme dans le pays. Le Mouvement des éclaireurs de Suisse est constitué officiellement le 1er avril 1912.
Dès 1913, Gaston Clerc est également l'un des pères du roman scout francophone, parmi d'autres auteurs comme Paul Zimmermann (Simmermann ?), Jean de la Hire ou encore le colonel Royet et Arnould Galopin.[1]
Notes et références
- ↑ Un siècle de fictions pour les 8 à 15 ans... de Raymond Perrin.
